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Samedi 25 janvier 6 25 /01 /Jan 18:59

Après cette bonne baise entre sneakers chauds comme la braise, un peu de lecture avec un mail que m'a récemment envoyé ADRIEN, un mec de 34 ans tombé sur le site un peu par hasard et qui visiblement en est devenu carrément accro depuis ! A la lecture de certains des récits sur le blog, il s'est rendu compte que lui aussi était sans doute une vraie lope et qu'il kifferait grave se faire humilier par un ou plusieurs queutards odorants. Il a donc décidé de prendre son clavier pour nous faire partager son fantasme ultime, dans l'espoir de trouver via le blog quelqu'un pour le réaliser... Alors si son trip vous fait kiffer, n'hésitez pas à le contacter et à nous raconter ensuite comment vous avez larvé et humilié ce p'tit batard à la queue ridicule.

Moi c'est Adrien. Jeune mec brun sans histoires, plutôt masculin par mon look et généralement confiant en moi. Je vois pas le monde comme une source de danger. Mais je kiffe les mecs hyper virils, et de mon côté, j'ai une toute petite bite. Mais alors vraiment petite. Genre minable. Quand je bande à fond elle fait 12 cm, tordue vers la gauche, et je décalotte pas complètement. Vraiment, la honte quoi. Et au repos, franchement, c'est une micro-bite : 5 cm à tout casser, long prépuce fripé, petit gland de puceau.

Adrien (1) Adrien (3)

Je m'imagine en train de me promener dans une téci de banlieue, disons plutôt 9-3 que 78... Donc je marche, tranquille. Je viens de sortir d'une soirée chez des amis, à Saint-Denis. J'ai un peu picolé, sans plus. Et là, j'ai juste une giga envie de pisser. C'est l'hiver, et avant de reprendre le métro, je scrute chaque coin de rue où je pourrai vider ma vessie tranquillement. Les deux trucs mêlés, je veux dire l'envie de pisser et le froid de décembre font que ma ptite bite se rétracte encore plus. C'est clair, je sens que mon zizi pointe vers l'avant, sans même couvrir mes couilles. Ptite teub dans son slip. J'avance toujours. Je passe devant une barre d'immeuble. En contrebas, y a une palissade de chantier. Là, j'en peux plus. Plutôt confiant, en me disant qu'il n'y a personne autour, je m'approche du mur fait de planches de bois. Je m'apprête à pisser. Le seul truc que je sens dans l'air du soir, c'est une vague odeur d'herbe. Sur le coup, ça me fait sourire. Bon. Je me débraguette, je baisse mon calebut et j'essaie de prendre ma mini queue entre deux doigts. J'ai du mal à trouver ma quéquette. Je commence à pisser, un petit jet de merde qui atterrit assez bas sur la palissade. Eh ouais. Quand on a une ptite bite, ça va pas bien loin. Et là, j'entends un mec qui se met à gueuler :
− Eh, putain, faut pas te gêner, mec. Tu t'crois autorisé à pisser sur mon mur ?

laskard4.jpgJe me retourne. Dans la pénombre, je vois un jeune laskar entre 18 et 25 ans. Sapé costla. Il s'avance vers moi. Un peu agressif.
Euh ben... Désolé...

Franchement surpris, je continue à pisser, en faisant en sorte que le mec ne voit pas ma teub. Je repense à une phrase de meuf se foutant de la gueule des mecs : décidément, les mecs sont pas doués pour faire deux choses en même temps. En fait, j'espère juste avoir le temps de finir de pisser pour me casser en courant.

Trop tard... Le jeune rebeu a pas lâché l'affaire. Il est à un mètre de moi. Il me mate en train de pissoter. Il a remarqué que mon jet n'était pas super puissant. Il jette sa clope. Il me serre le cou en me disant :

J'crois que tu m'as pas compris. Je fumais trankil mon bédo, avec deux autres potes, de l'autre côté de la palissade. Et on a entendu un keum qui pissait. C'est pas cool du tout.
Moi, j'encaisse le coup. Je ferme ma gueule et j'essaie de me resaper.
Mais le rebeu m'en empêche. Il appelle ses deux potes.
− Julien, Pedro ! Venez-voir le ptit pisseur... 
Là, je commence à flipper.
Les deux autres arrivent. Ils sont trois. Je suis seul. Je sens qu'ils vont me pourrir la vie.
Tant bien que mal, j'ai remis ma petite bite dans mon calebut, mais trop occupé à voir les trois mecs, j'ai pas remonté mon fut.


laskard2Samir, le jeune rebeu, me lance alors :
− Ben vas-y, te gêne pas. Continue de pisser.

− Ben, c'est bon, j'ai fini...
Le plus grand des trois mecs, genre 1m80, barak et bien viril, très brun, assez rigolard, s'approche de moi. Lui, c'est Pedro. Je pense que c'est un bon petit portugais. Dans ma tête, je fantasme sur lui, et la forme possible de sa bite.
− Ouais, mais moi, j'ai très envie que tu nous montres comment on pisse dans la rue...
Là, je suis déjà super mal à l'aise. Ce mec m'a demandé un truc, et j'vais pas y couper.
Ses deux potes, le rebeu et le céfran, se rapprochent de moi. D'instinct, je me retourne à nouveau face à la palissade, pour leur tourner le dos et tenter de pisser.
Mais là, Pedro arrête tout. Il précise tout de suite :
− Non, non. Face à nous !
Là, je suis paralysé. Je me retourne à nouveau vers eux. Je regarde au loin, j'essaie de garder ma contenance. Puis je baisse mon calebut. Là, c'est la honte. Je le sais et ils le savent.
− Putain, mec, c'est avec ça que tu pisses !
Les trois keums se marrent mais c'est Pedro qui a parlé pour eux trois.

Je sais pas où me mettre.
Après quelques sifflets et autres petits rires narquois, Samir, le premier mec à qui j'ai eu affaire, reprend les commandes et propose un truc.

− Ok, mec. Tu te pointes ici. T'as pas le look du quartier. Tu viens pisser devant notre squatt, et t'as un ptit zob de puceau ? Ok. On va bien s'amuser.
 

Le céfran et le rebeu me prennent par les épaules, et m'emmènent de l'autre côté de la palissade. Là, je passe sous des structures en béton d'un immeuble jamais fini. Il fait froid et c'est encore sombre. Plus à l'intérieur, y a comme une sorte de salon pourri, où trônent deux vieux canap, des lampes de récup'. C'est là qu'ils doivent fumer et se taper des branles trankil. Moi, je le suis pas. Mais alors pas du tout.
− On va faire d'une pierre deux coups, mon pote. On va te punir. Et tu vas te racheter. D'abord on va s'occuper de ta ptite bite de merde, et on va te montrer ce que c'est d'être un vrai mec. Un mec qui a le droit de pisser debout dans la rue...


laskard1Depuis le début, le céfran − qui s'appelle Julien − ne dit rien, mais je sais pas si c'est par solidarité avec moi, ou si c'est juste parce que c'est un gros pervers. Samir me force à m'allonger sur le dos. Sur le grand canapé crade de leur squatt. Je m'exécute. Là, l'humiliation commence. C'est Samir qui commence. Il me fout deux claques pour bien me soumettre et me faire comprendre que je suis coincé là. Il approche sa main de mon fut et commence à le baisser. Première réaction, lorsqu'il voit mon calebut :
− Oh putain les mecs, y a vraiment pas grand chose là-dedans...

En fait, pour tout dire, je porte pas un calebut − pour moi c'est juste le nom global des sous-vêtements. Ce que je porte ce soir-là, c'est un boxer. Putain de mauvais choix. Un boxer bleu clair, qui me moule bien, et qui épouse les formes de mes couilles et de mon mini-zizi. Ça donne quoi ? Une petite boule informe avec un mini relief qui correspond à ma quéquette.
 

Les trois mecs sont au-dessus de moi.
Pedro pousse Samir et lui dit :
− Allez, vas-y j'en peux plus, désape-le !
Samir me baisse le caleçon d'un coup. C'est la honte totale. Là les mecs voient un zizi de 4 cm, tout rétracté, tremblant, et humide de ma pisse. Et quand je dis 4 cm, c'est deux centimètres de prépuce au bout.
− Ptite bite, va. T'as pas honte ? C'est quoi cette quéquette ?

laskard3Samir me pince le prépuce et se retourne vers ses potes en disant :

− Vous vous rendez compte les gars, si ce keum était circoncis, ça lui ferait un zob de 2 cm !!!!
Ils se marrent et se réjouissent à l'idée de ce qu'ils vont pouvoir inventer...
Là, pour la première fois, Julien s'approche de moi et me mollarde à la gueule :
− Tu fais honte aux statistiques des céfrans !
Et pour appuyer son discours, il se met d'instinct à se désaper. Il ouvre son jean et sors un gros chibre veineux, bien large, bien dodu.
− Tu vois, j'suis pas circoncis, mais regarde ce que ça peut donner une vraie bite...
Moi, humilié, tremblotant, je fixe sa teub et j'évalue à 12 cm sa longueur au repos. Soit la même longueur que mon zizi quand je bande un max. La sienne se termine par un prépuce généreux comme une grosse trompe d'éléphant.

Ses deux potes, à leur tour, me montrent ce que c'est qu'une vraie bite de mec. Samir sort une bite très large, au gland court et rose foncé, mais hyper large, qui vient couronner son zeub comme une grosse coupole de chair. Et Pedro sort une bite de 14 cm, au repos, pas circoncis, et avec un prépuce qui se referme à peine sur sa saucisse.

Là, je me dis que c'est fini. Leur programme punitif est terminé... Ils ont vu ma mini-bite, et ils m'ont affiché leur teub bien grosse et bien virile. Mais c'était sans compter la dernière idée de Pedro.
− Ok, mon pote. Maintenant on va te crèmer !

Adrien (2)Sur le coup, je vois pas ce qu'ils veulent dire. Je suis inquiet, et ma quéquette doit faire moins de 3 cm, prépuce compris. Pedro s'approche. Il me tend sa grosse-grosse bite devant moi. Avec ses doigts bien larges, il s'approche de ma toute petite quéquette. Il prend les replis de peau ridicules de mon zizi. Il déplie cette dentelle de chair rose digne d'un puceau. Et il me décalotte... Là, les trois mecs atteignent un point jamais imaginé d'humiliation : mon gland de bébé apparaît au grand jour.
Un demi-centimètre de gland rose pâle, trempé de pisse et d'excitation. Ils éclatent de rire. Mon cerveau bugg complètement : c'est à la fois l'humiliation totale et la plus grande jouissance. Mais ça n'est pas encore terminé.
..

Pedro ramène ses gros doigts vers sa propre bite. En l'effleurant à peine, il se décalotte. Et là, c'est un monde que je n'avais jamais imaginé qui s'ouvre sous mes yeux. Un gros gland rouge foncé, comme le drapeau portugais, sort d'un coup, avec des gros morceaux blancs dessus.
− Tu sais ce que c'est ? C'est mon fromage "maison". Mon fromage de grosse bite.

Une odeur hyper dense de chiottes et de vinaigre sort de sa grosse bite. Cette odeur m'ensorcèle.
− Et tu sais ce que je vais faire ? Je vais te napper ta ptite quéquette de merde avec. Tu sais que tu pourrais me lécher ? Mais c'est pas ce qu'il te faut du tout... On va aromatiser ton zizi de puceau.

fromton42.jpg Pedro ramasse avec ses doigts plusieurs couches de fromage de teub. Blanc clair et jaune foncé. Je deviens fou. J'essaie de  deviner le nombre de jours qui ont dû aboutir à ce fromage de mec. 4 jours ? 8 jours ? Deux semaines ? Et là, c'est le sommet. Le jeune portugais a collecté bien un ou deux centimètres cubes de fromage-crado. Il me fait un grand sourire. Puis recouvre ma mini-queue de tout son fromton jaunâtre. Je sens, sur ma ptite bite, s'accumuler une crème épaisse puante. La sensation est délicieuse. Puis il me recalotte, d'un coup.

− Garde tout ça longtemps sur ta ptite queue. Peut-être que ça la fera grandir...

Ils éclatent de rire et moi j'éjacule de bonheur !

Adrien


P.S. : pour tous les gars qui voudraient vraiment me transférer leur fromage sur mon zizi de puceau, n'hésitez pas à me contacter (adrianobertano@yahoo.fr)

Par Adrien - Publié dans : Témoignages
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