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  • : Bienvenue sur le seul blog entièrement consacré aux amateurs de teubs crades et d'odeurs de mâle en rut ! Photos, vidéos, témoignages, anecdotes... de pures odeurs de queutards à toutes les pages ! Alors ouvrez grand vos narines les mecs !
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Jeudi 16 décembre 4 16 /12 /Déc 19:00

Salut les queutards !

  

Et non, vous ne rêvez pas ! Enfin une mise à jour du blog ! lol Comme c'est bientôt Noël et la période des cadeaux, je ne pouvais pas vous laisser sans un p'tit cadeau moi aussi. Et je pense que vous allez kiffer grave en la découvrant. Mais encore un peu de patience...

Avant tout, je voudrais remercier tous les mecs qui malgré mon absence de la toile, ont continué à laisser des commentaires sous les différents articles et à m'envoyer régulièrement des mails. Ler derniers mois ont été à la fois chargés et plein d'imprévus, et c'est la raison pour laquelle je n'ai malheureusement pas pu être plus présent sur le blog. Mais avec 200 articles en archives et plusieurs dizaines de vidéos, je pense que vous aviez encore de quoi bien vous vider les couilles grâce à votre blog préféré ! Je ne peux pas vous promettre de reprendre un rythme régulier de publication, mais promis dès que j'aurais un peu de temps, je vous foutrais une putain de trique avec des témoignages bien hard d'autres queutards amateurs de plans odeurs (d'ailleurs n'hésitez pas à m'envoyer vos histoires, je suis toujours preneur !) et des vidéos hyper och, à vous tirer le jus direct ! ;-)
Angelus04

Mais trêve de blabla, je vous laisse en compagnie de mon pote ANGELUS, un putain de lopsa avec qui je chattais depuis déjà pas mal de temps et dont j'ai enfin pu tester les talents de bâtard en live, il y a quelques mois ! Et je peux vous dire les mecs, que c'est un putain de batard et que j'ai grave kiffé l'avoir à mes ieps et au bout de mon zob. Grâce au récit détaillé qu'il m'a envoyé après le plan, vous allez pouvoir revivre cette baise comme si vous y étiez... Et à mon avis, vous allez cracher un max de yop en découvrant ce que j'avais réservé à cette tépu de première ! Par contre, désolé de ne pas illustrer son témoignage avec des photos prises pendant le plan mais mon appareil était malheureusement HS ce jour-là :-(  Il faudra donc vous contenter de photos d'archives de ce p'tit bâtard d'ANGELUS en train de se faire loper par d'autres queutards en rut. Et ouais, il aime çà l'enfoiré ! Seules les pics du calbut cartonné et de la teub bien crémeuse sont les miennes ;-)

Alors tous à vos queues les mecs, et merci encore à toi mon pote pour ce pur kiff qu'on a pris tous les deux lors de ta première séance de dressage !
En attendant la prochaine...

  

Salut à tous ! Fan de teubs daubantes et de from depuis pas mal de temps, je cherchais un master capable de m’offrir ce que je cherchais, à savoir qu’on fasse de moi un bon bâtard à odeurs, un clebs décrasseur. Vous en rêvez ? Ben je l’ai fait ! Voici le récit de mon larvage par notre cher Teubcrade !!! Du beau boulot, je crois n’avoir que rarement pris mon pied ainsi.

Tout d’abord, il est venu me parler sur un chat (rien d’extraordinaire me direz-vous), mais je ne sais pas pourquoi, je fais partie des rares qui ont eu le privilège de le décrasser en live et croyez-moi, sa réputation n’est pas usurpée ! Après un bref passage sur le chat, commencèrent les négociations sur MSN... Rendez-vous fut alors pris, mais pour des raisons de fatigue et de manque d’odeurs, je me suis vu contraint d’annuler.De plus, m’étant endormi devant l’ordi, Teubcrade s’est retrouvé seul pour dialoguer ce qui l’a mis — on le comprend — très en colère. Quand enfin je répondis, il me fit comprendre que ce serait ma fête rien que pour ce qui venait de se passer. Nouvelle séance donc prévue le lendemain, et cette fois j’y suis à l’heure, excité et en sueur.

Une fois dans l’appart, une première gifle m’assaillit ma gueule de pute afin que je comprenne que ma place était au sol et nu comme un clebs. Une petite hésitation se vit dans mes yeux, puis j’obéis. Mais la punition est alors inévitable : je suis resté debout et je suis plus grand que mon maître. Il faut donc que je m’abaisse au plus vite, sinon je risque de morfler grave ! Et j’avoue, l’envie de sa teub daubante et fromageuse finit par me convaincre de me foutre direct à genoux. Je me retrouve donc nu, en position de clebs.
Angelus01C’est là qu’il me dit :
 

— Voilà, p’tit bâtard, à quatre pattes c'est mieux ! Tu es enfin à ta vraie place !
Oui, en effet, je suis bien à ma vraie place là. Je pensais alors que j’allais pouvoir atteindre l’objet de mon désir mais quelques mots secs achevèrent de me faire comprendre que non ce n’était pas pour de suite.
—  Oulah petite pute, attend ! Tu crois pas que tu vas t’en sortir à si bon compte ?! Maintenant, je vais te punir pour m’avoir laissé comme un con devant l’ordi hier et de ne pas être venu me récurer direct !
Je reçus alors quelque baffes bien senties sur le corps et la gueule, sans compter les mollards pour me montrer un peu plus ma condition de bâtard bon à n’être qu’humilié. La peur commençait à se faire sentir mais en même temps, je me mis à avoir la gaule comme pas possible.
Tout en me claquant la gueule, il continue de me parler comme à une lopsa (que je suis d'ailleurs !) :
Ça y est, t’as compris p’tit bâtard qu’il faut pas me contrarier ?!! Hein ? Répond sale pute !! T’as compris ?!
— Oui maître.
Il m’ausculta un peu, en commentant :
Ça  va, t’as un bon cul de pute. Tu dois être une bonne salope qui aime se faire défoncer un max. Quand je vais te baiser, je vais te faire hurler grâce pour ton trou de pute.
Puis, regardant l’ensemble, il s’écria alors :
— Mais ça te plait en plus sale chienne ! Tu bandes comme un bâtard en rut !
— Mmmn oui j’en veux ! répondis-je.
Et là, après un mouvement vers l'avant, je fis mine de me relever. La sanction fut immédiate :  une bonne baffe et un mollard bien glaireux sur la tronche !
— Tu fais quoi là, bâtard ? Hein pute, tu fais quoi là ?!!
Il m’appuie alors dessus jusqu’à ce que je sois à quatre pattes, bien bas, à ses pieds.
— Ta place, c’est au sol sale clebs ! Aux pieds de ton maître.
Il prit alors ma tête entre les mains et m’ordonna d’ouvrir grand la bouche pour me cracher à la gueule. Et j’avalais ce mollard avec délectation. 
T’es à moi ! T’es qu’une merde donc tu dois obéir, t’as compris ?? Tu vas m’obéir hein, bâtard ?

Et ma seule réponse fut un « Oui maître » qui en disait long sur l’excitation me parcourant tout le corps.

Il prit alors sa ceinture en cuir. Je crus que j’allais morfler grave à ce moment précis mais non, il me le mit autour du cou en guise de collier pour bien me faire prendre conscience de mon statut de dog. Et oui, en plus de ma soumission et de mon humiliation, commençait ici mon dressage de dog obéissant. Il s’assit sur le lit et tira la laisse afin que je me retrouve à quatre pattes, la tête entre ses jambes. Là, je sentis qu’approchait le moment ultime où j’allais pouvoir approcher ce pourquoi j’étais venu, et que j’avais d'ailleurs déjà un peu décelé en arrivant. C'est-à-dire sniffer, me gazer à l’odeur bien daubante de sa bite et pouvoir enfin déguster son fromage crémeux, caché et préparé pour moi sous son prépuce depuis quatre jours. Il me plaqua alors sans ménagement la gueule sur sa braguette et me dit d’un ton très supérieur :
— Vas-y pute, sniffe bien mon jean, gaze-toi bien salope ! C’est pour ça que t’es venu alors vas-y, applique-toi ! Prend ton pied sur de vraies odeurs de mâle. Et fais ça bien sinon je te démonte ta gueule de bâtard ! Fais-moi bien sentir que tu le veux mon from qui pue, sinon je grade le jean et tu te casses.
— Oui maître, je le veux, je le veux ! dis-je alors tout en grognant et gémissant.
Je me mis donc à sniffer son entrejambe déjà bien odorante malgré les couche de vêtements. Je reniflais de plus en plus fort, avec envie et bonheur, n’attendant que le moment béni où plus rien ne serait entre mon pif et sa queue pourrave.
Angelus06Pendant que je le sniffais, il posa sur le lit un calbut cartonné à mort de sperme pisse et autre sécrétion corporelle et me balança :
— Tiens bâtard, joue avec ça ! Sois un bon clebs fais-en bon usage.
Je ne pus alors me retenir : je me mis à prendre le calbut dans ma gueule et à jouer avec comme un vrai clebs en le secouant, le rattrapant, et en bavant bien dessus, ce qui me permit de récolter un peu de ce qui était incrusté dedans. Il me le mit ensuite sur la gueule et continua :
— Bon clebs, il aime çà ce p’tit bâtard de clebs ! Sniffe bien mec, t’es venu  pour faire ta pute, t’es bon qu’à ça de toute façon.
Et j’avoue que je m’en suis donné à cœur-joie. Mais ce ne devait pas être assez bien pour lui car je reçus très vite une baffe sur la gueule et je l’entendis hurler :
— Mieux que ça, bâtard !! Un vrai clebs, ça sait renifler les bonnes odeurs !
Il me secoua la tête et joua un peu avec le calbut et moi. Je me surpris à être d’un coup un vrai clebs qui joue avec son maître, sentant ma queue de bâtard toujours plus dure et l’excitation toujours plus grande. Je vis alors qu’il était en caleçon et une odeur puissante me vint au nez. Il me dit alors d'un ton enjoué :
Angelus05— Tu le veux mon bitos bâtard ? Tu le veux, hein ? Un bon bitos bien fromageux, crémeux à souhait et daubant depuis quatre jours !
— Oui maître, je n’attends que ça, répondis-je du tac au tac.
Il me força alors à sniffer bien comme il faut ce calbut, dont l’odeur était en fait un putain de mélange entre sperme, pisse et transpiration. Forte, âcre et sale. Bref, un régal pour mes naseaux ! Puis, il prit ma gueule d'une main, me cracha dessus et me dit :
— Bien, je vois que tu le veux mon bitos puant ! Mais avant, tu vas te gazer à mes aisselles suantes, puantes, qui sentent l’homme, le vrai ! En gros, tout ce que tu n’es pas, hein bâtard ?!
Ni une ni deux, je me retrouve à moitié asphyxié. Mais quel bonheur ! Je vous jure, mieux que le poppers, et plus aphrodisiaque que le gingembre. J’en pouvais plus d’excitation et j’avais la rondelle qui commençait à crier famine, réclamant des coups de bite puissants. Je sniffais à pleines narines tellement c’était bon et j’en ai nettoyé une avec ma langue, la léchant bien afin de profiter des gouttes perlant sous ce bras. Un nectar merveilleux s’il en est ! 
Tout ceci n’eut pour résultat que de décupler mon caractère de clebs bâtard à odeurs, atteignant un niveau rarement vu chez moi jusqu’alors. Je ne savais plus que gémir, grogner et aboyer de plaisir. Ce qui contentait visiblement mon maître.

Retour sur le calbut, de nouveau bon sniffage et là, voilà le moment tant espéré ! Il retire le caleçon et me presse fort les narines contre son bitos : l’odeur est limite supportable, mais en même temps super enivrante. Et là, il me sort :
Ça y est pute, ce le grand moment pour toi. Tu vas kiffer, sniffe bien, gave-toi de ma bonne bite daubante, bâtard !
Ce que je fis bien sûr, avec un plaisir non dissimulé.
— Tu es vraiment une sacrée pute ! me lâcha-t-il. Tu renifles ça vraiment comme un bon clebs qui en veut. C'est bien salope ! Continue, montre à ton maître que tu es à la hauteur. Fais bien ta chienne, montre que t’es un bon bâtard à odeurs ! De toute façon, t’es fait pour ça, t’es bon qu’à ça ! Allez continue sale pute !!!!
En même temps, il décalottait progressivement son gland et l’odeur se faisait de plus en plus forte et irrespirable. Mais ça me rendait fou et je ne cessais de renifler encore plus fort. Je grognais sans m’en rendre compte tant je trouvais ça kiffant que ça daube comme ça. Et là, avant que je puisse réaliser quelle tépu j'étais, vint enfin l’ordre que j’attendais depuis mon arrivée :
— Tu le vois bien là, mon from ? Il te plait ? Y’en a assez pour toi ?
Seul un oui gémissant sortit de moi en guise de réponse.
— Alors vas-y, bouffe mon bon from de master !!! Montre que t’es une pute gourmande ! Et fais ça bien ou je t’explose la gueule !
Angelus02Je m’appliquai alors, et commençai un décrassage en règle, je n’entendis plus que des grognements et des « Oui vas-y c'est bon ! » ou des « C'est bien, continue ! Bouffe bien tout, nettoie bien mon bon bitos avant que je te le mette dans le cul ». Je léchais du bout de la langue pour récupérer chaque petit morceau prêt à tomber. Puis j’enfournais d’un seul coup la queue entière jusqu’à la garde, commençant ainsi un nettoyage intégral de son chibre. Je n’en pouvais plus tellement j’étais heureux et satisfait, je ruisselais de bonheur. C’était exquis !

Une fois ce nettoyage terminé, il me lança sèchement :
— Maintenant salope, à quatre pattes comme un clebs ! Je vais te défoncer ton sale trou de lope ! 
Je m’exécutai immédiatement. Il se para d’une capote, mis un peu de gel sur sa bite et rentra d'un seul coup dans mon cul. Il commença à me limer comme un dingue. Au début, ce fut un peu douloureux mais direct, je pris un pied monstre, la tête enfoncée dans le lit ! Je ne faisais que crier mon bonheur tellement j’étais bien défoncé. Il s’arrêta, se branla sur ma tronche et gicla une quantité impressionnante de bon jus sur ma gueule et mes cheveux. Il m’emmena ensuite dans la douche, m’assit dans la baignoire et me rinça sa semence du corps avec de bons jets de pisse bien chauds, me demandant si je kiffais me faire laver ainsi. Vous vous en doutez, ma réponse fut bien sûr affirmative.
Angelus03Nous prîmes une pause, et quand je commençais à m’endormir paisiblement, le cul encore béant suite à ses assauts, il me remit à quatre pattes et me bourra comme une vrai pute sans s’arrêter jusqu’à ce qu’il jouisse à nouveau dans mon cul (dans la capote). Et là, il me dit :
— C’est bien bâtard, t’as été une bonne pute et tu m’as bien vidé ! Allez, rhabille-toi maintenant ! 
Et sur ces mots, il me ramena à la gare ,épuisé mais bien baisé, avec le sentiment d’être une vraie pute, humiliée, bafouée avec un bonheur sans pareil. Lorsque je suis monté dans le train, un sentiment de manque me prit et je me consolais en me disant que si je lui avais plu, il me rebaiserait et que c’était loin d’être fini, que j’accourrai quand il me sifflera. Bien sûr, je ne manquerai pas de venir vous le raconter.

A bientôt. Wouf Wouf !
Léchouilles
Angelus

Par Fromton Boy - Publié dans : Témoignages
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