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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:18

Salut les queutards !
Petite mise à jour du blog avec cette semaine en exclusivité le témoignage de Sylvio, un p'tit tarba de Paris qui fantasme à donf sur les laskards de banlieue... Et à force de chercher à se faire baiser, il a fini par tomber sur une bande de kailleras de cité qui l'ont lopé grave dans les chiottes de la gare du Nord... Putain, j'ai grave kiffé son histoire et j'ai pas réussi à me retenir de juter avant la fin. J'en ai encore le slob tout gluant !!! Je vous laisse donc découvrir son histoire et n'hésitez pas à lui mettre des commentaires si vous avez pris votre pied en la lisant. Bonne sturbe à tous !!!

Salut les mecs, moi c'est Sylvio, bonne lopsa de 22 ans sur Paname grave branché skaters et jeunes lascards de téci en rut... Je rêvais depuis longtemps d'une rencontre hyper sexe où un ou plusieurs jeunes lascards bien virils et autoritaires me feraient subir tous les outrages. Et ce jour-là est enfin devenu réalité il y a un mois, alors que je trainais un soir dans les chiottes de la gare du Nord.

En effet, d'autres mecs branchés rebeux m'avaient dit que de bonnes kailleras de téci traînaient parfois les soirs dans les chiottes à la recherche d'un pédé pour les vider. Malgré une légère appréhension, je me suis décidé à aller y traîner un dimanche soir vers 22 heures, histoire de me rendre compte par moi-même. Arrivé sur place, pas grand monde dans la gare si ce n'est quelques voyageurs, l'air sinistre, revenant de leur week-end en province... Je me décide à aller traîner dans les chiottes pour voir si le lieu est à la hauteur de ce qu'on m'en a dit. Là encore, c'est la déception !
Je traîne pendant presqu'un quart d'heure sans voir le moindre coup potentiel passer par les chiottes... J'ai grave les boules car j'étais vraiment chaud ce soir et l'idée de devoir repartir avec les couilles pleines pour me vider tout seul devant un film de boules ne me réjouit pas le moins du monde !
Ne voyant toujours personne apparaître dans cet univers un peu glauque, je décide d'aller pisser avant de repartir chez moi. J'étais en train de pisser face à un urinoir quand un rebeu d'une trentaine d'années à l'air vicelard est entré dans le petit local vétuste. Une ambiance crade y régnait et mon sang ne fit qu'un tour lorsqu'il s'installa à côté de moi. Son regard cherchait le mien et lorsqu'il le trouva, il me sourit d'un air entendu. Il siffla un bon coup et trois autres rebeux dans son genre
rappliquèrent illico. Ils portaient tous des survets de marques, des casquettes lacoste et des skets Tn bien pourraves... Putain j'en croyais pas mes yeux !!! L'un d'eux s'est placé de l'autre côté, s'appuyant contre le mur à coté de l'urinoir où je me vidais. Il s'est penché pour mater mon sexe.

— Pas très grosse cette queue! Il a pas l'air de s'en servir souvent !
— C'est pas comme toi, Kader !
— Kader, il se sert si souvent de la sienne qu'elle est énorme. Les meufs en prennent plein les trous...
— Pas que les meufs...

Il m'a attrapé par le col et m'a poussé vers un de ses copains qui me repoussa vers un autre et ainsi de suite. Ils se sont amusés à me pousser de l'un à l'autre tandis que j'avais toujours la bite à l'air. Une main me claqua le cul avec force tandis qu'une autre m'attrapa les couilles. Ma bite fut tirée avec force, malaxée et pelotée. J'étais vraiment très excité et j'ai commencé à bander comme un ouf. Ces mecs étaient assez effrayants et je sentais le danger... si ça se trouve, je me retrouvais au milieu d'une bande de mecs venus de leur cité pour casser du pédé. Malgré tout, la situation m'excitait grave et ma bite trahissait de plus en plus mon envie de me faire baiser...

— Regardez cette salope qui bande!
— Mais t'es une petite salope...
— Même une grosse ! ai-je alors osé ajouter en regardant le mec droit dans les yeux.
— Et elle le reconnaît, la sale chienne. Elle va être servie... Hein, les gars ?

Le plus baraqué m'a alors jeté sur le sol où l'odeur de pisse m'emplit les narines. Il m'a collé sa sket bien daubante sur la bite et a appuyé sans ménagement. Sous le coup de la douleur, j'ai gueulé très fort mais j'ai vite compris mon erreur : il m'a foutu direct une baffe magistrale, suivie d'une pluie de molards bien glaireux !

— Maintenant tu vas la fermer, sale pute !

Pendant ce temps, les autres mecs avaient tous sorti leur bite. Je les découvrais avec plaisir. Toutes longues et charnues, avec de bonnes couilles lourdes de bon jus. Et le plus kiffant de tout, une putain d'odeur de transpi et de fromton qui me prennait direct aux narines.

— Suce, salope ! Décrasse bien nos zgegs de rebeu bien daubants ! Un par un, et jusqu'à la dernière goutte !

Comme je me relevais pour en pomper un en me servant de mes mains, le plus jeune du lot (je lui donnais pas plus d'une vingtaine d'années) me saisit par les cheveux et me cracha sur la gueule. Un autre tira une paire de menottes de sa poche et, m'emprisonna le poignet gauche derrière le dos. Il ferma les menottes sur le poignet et passa la chaîne dans une canalisation, il referma l'autre sur mon poignet droit. Il me poussa alors son sexe gluant en bouche. Il était d'une taille assez impressionnante, peut-être le plus large des quatre et malgré le fait qu'il était circoncis, il avait pas mal de dépôt sur le gland.

— Elle va adorer ça, la salope ! Du bon jus de rebeu !
— Allez suce mieux que ça... Montre-nous que tu es vraiment une bonne lopette.

Encouragé par les quatre mecs, j'ai commencé à lécher la hampe très dure puis tout autour du gland. L'engin sentait vraiment la pisse et une odeur d'homme très forte. Je passais la langue avec application sur la tige veinée et bien dure. J'étais comme un clebs qui profite à fond de son os. — Mais elle en redemanderait cette salope, dis que tu aimes la bite de rebeu !
— J'adore mec...
— On ne parle pas la bouche pleine connard !

Et je me suis pris la torgnole du siècle. Une baffe retentissante qui résonna dans mon oreille. Dès cet instant, je crois n'avoir plus émis le moindre mot. Mes seuls bruits étaient des gémissements, des plaintes de plaisir...

— Et on suce bien à fond. Mieux que çà ! Les vraies bonnes chiennes sucent les bites à fond. Je dois sentir mon gland buter au fond de ta gorge, sale pute de céfran !
— Ça prétend être une grosse salope et ça suce comme une meuf qui prend son premier coup de bite !
— On va lui apprendre, nous...

D'un coup, il enfonça violemment sa tige d'au moins 22 cm dans ma bouche. J'en ai eu un haut le coeur et puis j'ai essayé de le satisfaire en le pompant bien. Je voulais que mon fantasme se réalise complètement et être 100% à la merci de ces mâles excités. Le fait de me trouver dans des toilettes où quelqu'un pouvait entrer à tout moment y était pour beaucoup. Aspirant ce membre, faisant tourner ma langue autour, j'ai réussi à lui tirer des râles de plaisir. Il a joui en s'enfonçant bien dans ma gorge et j'ai senti son jus épais et chaud qui coulait en moi. Il a sorti son sexe poisseux et s'est essuyé sur ma gueule et dans mes cheveux. Je savais que ce n'était qu'un début... Il m'a retiré les menottes et craché à la gueule en m'insultant en arabe. Les autres m'ont retiré les godasses et le jeans puis m'ont poussé dans un WC dont ils ont laissé la porte ouverte.
— À poil bâtard !
— Enlève toutes tes fringues et jette-les dans la cabines d'à-côté...
— Petite pute ! Ça l'excite tellement qu'elle trique à mort cette salope !
— Il mérite d'être puni, Djamel. Baise-le ! Baise cette pute !

Le Djamel en question - qui était d'ailleurs mon préféré avec ses airs de kaillera viril et poilu - a commencé à me claquer le cul à mort tout en m'insultant en arabe. Il a continué sur la bite. Il voulait me faire débander mais ça m'excitait encore plus fort. Le plus jeune passa derrière moi et m'attrapa fermement les bras pour m'empêcher de bouger. J'étais livré à ces fous excités. Ses copains m'ont alors soulevé pour me mettre en appui sur les bords de la cuvette et le salaud s'est acharné à me rougir les cuisses et les fesses. Des mains m'ont ensuite redescendu sur le sol et m'ont fait plier l'échine. Je frissonnais ! On m'a craché dans la raie du cul et, après avoir entendu un bruit de papier déchiré, j'ai senti un gros gland qui poussait sur mon petit trou. Une queue s'est enfoncée d'un coup sec et j'ai gueulé. J'ai alors eu le droit à une claque sur la tête. Mon enculeur m'a attrapé par les cheveux et m'a plaqué, sans me ménager, la gueule sur la cuvette odorante. Il me limait comme une chienne sous les cris de ses copains qui l'excitaient.

— Baise cette chienne, Djamel ! Enfonce ton dard jusqu'à sa glotte...

L'image quoiqu'exagérée m'excitait très fort et j'écartais un maximum les cuisses comme pour mieux l'accueillir dans mon cul offert. Ma tête fut tirée en arrière pour mieux recevoir les crachats et les injures. Un des mecs - polo lacoste avec de belles auréoles de transpi sous les aisselles - m'a contourné et s'est installé face à moi sur les bords de la cuvette. Celui-ci m'imposa son sexe un peu mou mais aux dimensions prometteuses. Il me l'enfonça dans la bouche pendant que l'autre, derrière, me limait toujours avec autant de fureur.

— Prends ça, putain d'enculé !
— Voilà une bonne pute qui se fait tirer par tous les trous. C'est pas génial, les mecs?!
— Allez...allez... pompe mieux que ça sale céfran !

La bite que j'avais dans la bouche gonflait de plus en plus et je la suçais avec application. Dans mon cul, le mec libéra son jus. Il gueulait comme un forcené en claquant mon cul cuisant. Il s'est fait remplacer par un autre qui voulait aussi se vider les couilles et qui profita de mon cul déjà dilaté. L'engin entra avec plus de facilité et trouva rapidement sa cadence dans mes entrailles. Je sentais les couilles de mon violeur qui venaient battre contre mon cul. Je continuais ma séance de pompage et je caressais les couilles de celui que j'avais devant moi. J'entendis une porte s'ouvrir et claquer contre le mur. On venait d'entrer dans les toilettes. Ma bite gonfla d'un coup et une goutte de sperme perla. Il aurait suffit que je me touche pour larguer ma purée. Un bruit de zip et un écoulement de pisse dans l'urinoir m'indiquèrent qu'un nouveau venu devait profiter du tableau...

— On se tape une pute ! ça te dit, mec ?
— Pourquoi pas, répondit l'inconnu.
— Laisse ta place, Rachid ! Le monsieur veut goûter à notre bâtard...

La troisième bite à me ramoner entra comme une lettre à la poste.

— Mmmm... bon cul, dit le gars!
— Wesh ! Du vrai cul de salope...

La bite que je suçais sortit brutalement de ma gorge pour me jouir sur la gueule. Je sentis le sperme qui dégoulinait sur mes joues. Une main étala le jus chaud sur mon visage, sur mon torse et termina sa course dans ma bouche. L'ambiance était à son apogée ! Mes baiseurs ont tous joui à tour de rôle sur ma gueule, en continuant à m'insulter un max. J'en avais partout et visiblement mon enculeur mystère n'a pas résisté très longtemps à un tel spectacle puisqu'en moins de deux je sentis sa queue se raidir et déverser en moi de puissantes giclées.
J'ai ensuite été obligé de récurer leurs 5 queues foutreuses à la chaîne, avant de devoir me branler devant eux, le cul béant et le corps ruisselant de foutre de rebeu... Situation hyper humiliante mais qui m'excite tellement que je balançais très vite une dizaine de giclées de foutre bien épais sur le sol crasseux des chiottes.


— Ça t'a plu, hein, salope ?
— T'aimerais remettre ça, non ? Avec plus de mecs encore ?

J'ai agité la tête. L'un deux m'a alors écrit son tel sur le cul à l'aide d'un feutre, comme un tatouage, me disant que si j'avais les couilles de le contacter, il pourrait m'organiser un trip abattage dans sa cave où je pourrais sucer une bonne vingtaine de ces potes de cité.

Cela fait maintenant un mois et j'hésite toujours à y aller. Mais qui sait, peut-être qu'un jour que je serais grave en manque, j'oserai franchir le pas... Et si jamais je me lance, comptez sur moi pour tout vous raconter sur ce blog, il est vraiment trop bandant !!!

Par SYLVIO - Publié dans : Témoignages
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