Décrassage au camping

Voilà l'histoire hyper och du premier trip odeurs de SNIFFEUR OCH,  un pur bogosse de 25 ans avec une bande de laskards de téci bien hardos dans un camping du sud de la France. Préparez-vous à juter un max en découvrant son trip !!! Et n'oubliez pas de lui laisser vos commentaires après les mecs !

Un beau matin de juillet 2003, en pleine canicule, j'arrive au camping dans le sud est de la France. Je me fais une joie de passer une semaine dans ce camping non loin de Marseille. Le camping est bondé, il reste heureusement une place, hélas en plein soleil ! Je me rends alors sur l'emplacement indiqué par le chef de camping, un peu en retrait, un coin plutôt réservé pour les jeunes comme il dit, pour éviter les nuisance paraît-il ! Le soleil monte déjà dans le ciel, et la chaleur grimpe ! J'arrive sur mon emplacement, jette mon sac à terre et me mets torse nu pour monter ma tente ! Les voisins sont peu nombreux. C'est clair qu'avec cette chaleur, faut être fou pour mettre sa tente en plein soleil ! Il n'y a d'ailleurs qu'une caravane et une grande tente pour famille nombreuse. Une fois la tente montée, un peu de repos s'impose... Je fais tomber mon fut, jette le tout dans ma tente, et déballe ma serviette de plage, m'allonge en caleçon pour piquer un roupillon. Soudain, une musique de rap me réveille... ça vient de la tente familiale ! En effet, c'est bien le coin pour les jeunes ! Enfin bon ça me dérange pas. La tente est en fait occupée par 6 jeunes banlieusards. Un groupe blacks blancs beurs : Michael et John, deux marseillais d'origine française, Hicham et Abdel deux algériens et N'goma et Likou, deux sénégalais. Je matte du coin de l'oeil cette tente afin de recenser toute la population à l'intérieur. Putain, ils doivent crever de chaud les pauvres !
Le soir approche, je suis trop crevé pour aller me doucher et je vais direct me pioncer. Mais hélas, la bande de racaille en a visiblement décidé autrement, éclats de rire, musique m'empêchent de m?endormir. Bon c'est décidé, si à minuit ils arrêtent pas je vais les voir ! Mais peu avant minuit la musique se coupe, le silence s'installe. Je commence alors à m'assoupir mais j'entends alors des gémissements - ahhhhh, ahhhhhhhhhhhh oh ouiiiiiiiiiii
Les gémissements se font de plus en plus précis et nombreux, le froissement de la tente aussi. J'y crois pas, ils se tapent des putes ou quoi ?! A moins que je n'ai pas vu leurs meufs ! Excité par les bruits, je ne peux m'empêcher de me toucher la queue et de commencer à m'astiquer.

— Vas-y oui ! Défonce-moi le trou ! gueule Abdel
— Oui plus fort enfonce-la bien à fond ! lance Michael.
Et non, pas de meufs ! C'est bien une baise entre potes qui est en train de se dérouler à quelques mètres seulement de ma tente ! Tout ces cris, ces claquements de peau m'excitent grave et en moins de deux, je me balance quelques bonnes giclées bien épaisses sur le torse. Putain, ça fait du bien ! Réveillé à trois reprises dans la nuit par les cris des mecs, je me serais finalement branlé 4 fois en étalant à chaque fois mon foutre sur mon torse.
Le lendemain, vers midi, le soleil tape déjà fort. Encore une journée de canicule ! Je me réveille en sueur. Le torse collant de sueur et de sperme, je me lève et enfile un boxer noir moulant et sors de ma tente. Je matte bien sûr le baizodrome, mais tout a l'air calme. C'est clair qu'avec la nuit qu'ils viennent de passer, ils peuvent se reposer ! Je prépare donc ma serviette et ma trousse de toilette ! C'est clair que j'ai besoin d'une bonne douche ! Avec le trajet et la nuit que je viens de passer, il vaut mieux me décrasser ! Direction les douches, à l'autre bout du camping bien sûr ! Je traverse donc le camping en boxer. Arrivé devant les douches, un panneau indique : « Par arrêté préfectoral, et en raison des incendies et de la canicule qui sévissent dans le département, la distribution d?eau est momentanément coupée de 12 h à 18 h. ». Merde ! Pas moyen de prendre une douche ! Perso c'est pas que l'odeur de mâle me dérange, mais si je veux pouvoir draguer un peu pendant ces vacances, faut pas non plus que je sente le chacal ! Je rentre donc dans ma tente, et comme la veille, je m'allonge pour bronzer. Quelques minutes plus tard, la fermeture de la tente des racailles s'ouvre. Ah ça y est, ils sont réveillés... Je vais enfin pouvoir voir à quoi ressemble ces baiseurs.
— Putain quelle chaleur ! s'exclame Likou, sénégalais de 22 ans, en sortant de la tente. Il porte un boxer blanc qui lui moule son paquet et fait bien contraste avec sa peau. Son petit débardeur blanc lui va à merveille, et met super bien en valeur un superbe torse musclé sec ! Likou prend sa trousse de toilette, sa serviette et se dirige vers les douches. Il passe devant ma tente
— Salut ! lance Likou en me mattant direct le paquet...
— Salut ! Euh excuse moi mais si tu veux prendre ta douche c'est pas de chance, l'eau est coupée !
— ENCORE ! Putain, ils avaient dit qu'ils la remettraient ce matin ! ça fait une semaine que ça dure !
— Ah oui ! C'est vrai que c'est plutôt chiant ! Tu es la depuis longtemps ?
— Ca fait une semaine que je suis dans ce camping avec des potes (il pointe la tente du doigt) mais ça fait trois semaines qu'on est partis ensemble pour passer des vacances.
— Et avant vous étiez où ?
— On faisait du camping sauvage ! Et toi mec t'es arrivé quand ?
— Je suis arrivé hier, je découvre les joies du camping ! Je sais pas comment vous faîtes pour dormir dans cette tente avec cette chaleur ! Moi je peux pas... Vous êtes beaucoup ?
— 6 ! Et dans une tente normalement prévue pour 4 ! Alors autant te dire qu'on est l'un sur l'autre ! ?
— Ah ouais ! Je vois. Ca doit sentir l'homme !
— Grave, mais bon une fois que tu es habitué ça passe.
Je sors alors mon paquet de clopes.
— T'en veux une ?
— Oui merci. 
J'allume la clope de Likou puis la mienne et on fume tranquillement. Son p'tit côté laskard commence à bien m'exciter. Allez, faut que je me lance !
— Dis moi, tu fais quoi comme sport parce que t'es super bien foutu ?
— J'ai fait pas mal de foot au Sénégal, et quand je suis arrivé en France je me suis mis au basket et à la muscu... Sinon j'ai passé 3 ans dans l'armée. Je suis d'ailleurs venu en France pour çà !
— Ok, je comprend mieux maintenant ! Je me disais bien aussi t'es pas mal musclé...
— Ben t'es assez barraqué toi aussi mec !
— Merci, mais bon, j'ai pas les pecs qui ressortent comme toi !
— Je dis la même chose de N'Goma ! Lui c'est clair c'est un monstre !
— Il est là avec vous ?
— Oui, il vient du Sénégal comme moi.
— Ok ! C'est clair que vous devez être serré alors !
— Oh tu sais, on se monte dessus si il faut ! (Rire)
— Ouais en effet, j'ai cru entendre çà cette nuit !  (Rire)
— Enfin les vacances c'est bien sympa et c'est fait avant tout pour bien s'éclater ! Bon je te laisse mec, je vais rejoindre mes potes !
Likou se relève alors, me sert une poignée de main énergique et retourne dans sa tente. Je ne peux m'empêcher de matter son cul avec envie et de m'en toucher la queue. Je ne peux plus résister... je rentre dans ma tente et commence à nouveau à me branler.
Likou rentre quant à lui rentre dans sa tente et commence son rapport à ses potes
— Eh les mecs ! Je viens de faire connaissance avec David notre voisin !
— Ahhhhhhhhh ! s'exclament les autres.
— Un putain de bogoss ! Avec une petite gueule d'ange !
— Ça sent la salope çà ! répond Michael
— Je sens que les vacances sont pas finies ! enchaîne John en se tatant le paquet.
— Et tu crois qu'il y a moyen de se le faire ? demande Abdel
— Ça doit pouvoir se faire ! Faudra peut-être le forcer un peu mais après je pense que ça ira ! Je le le sens bien batard ce mec !
— Tu viens Michael, on va faire connaissance avec cette salope ! lance John.
— Allez y mollo quand même ! rétorque N'Goma.
— T'inquiètes on t'en laisse ! lol répondent John et Michael.
— Et au fait les mecs, il y a toujours pas d'eau ! déclare Likou.
— Mmmmmmm ça c'est plutôt cool ! enchaîne Hicham
— Vous avez intérêt à nous la ramener alors cette salope ! réponds N'Goma.
— Sans problème mec !
John et Michael enfilent un caleçon et se dirigent alors vers ma tente. Pas lavés depuis trois semaines, nos deux petits céfran sentent bon la cité ! Michael est âgé de 24 ans, assez musclé il est aussi assez violent. John quant a lui, 20 ans aime s'en prendre plein le cul. Michael gratte à la porte de la tente.
— Il y a quelqu'un là-dedans ?
En pleine branlette, je ne m'attendais pas à de la visite moi ! Je panique un peu et mets aussitôt une serviette autour de ma taille.
— Oui, j'arrive !
— On est des potes à Likou, on peut rentrer ? (Et merde ! me voilà bien )
— Oui allez-y ! Michael ouvre la tente et s'installe aussitôt à ma droite, alors que John lui s'allonge à ma gauche.
— Salut les mecs ça va ?
— Tranquille ! On te dérange pas au moins ? lance John.
— Non non ! Ça fait toujours plaisir d'avoir de la visite !
— On est passé dire un petit bonjour... Likou nous a dit que tu étais seul donc voilà ! ajoute Michael
L'odeur de mec s'installe dans la tente, John mate avec insistance la serviette et s'aperçoit assez vite que j'ai la gaule.
— Vous avez l'air de souffrir de la canicule aussi et du manque d'eau !
— Ça fait trois semaines qu'on s'est pas lavés ! Avec cette sécheresse c'est un peu la galère ! répond Michael.
— Mais bon ça ne nous dérange pas plus que ça ! enchaîne John .
— Ça se voit, ou plutôt ça se sent !
— Et alors ça te dérange ? rétorque Michael.
— Non, non... je suis un peu gêné car visiblement il n'a pas l'air d'avoir apprécié ma remarque (silence )
— Au fait moi c'est David.
— Enchanté, nous c'est Michael et John !
A ma grande surprise, John pose alors sa main sur mon torse ruisselant de sueur  et commence à me carresser les pecs. C'est pas çà qui va me faire débander c'est clair !!!
— T'es sportif aussi paraît-il ?
Un peu gêné, j'essaie de me reculer...
— Euh oui, je fais surtout de la natation...
Michael pose à son tour sa main sur l'autre pec.
— C'est clair, t'as un beau torse David !
Je me recule de nouveau mais la serviette ne suit pas et le gland pointe alors son nez. Naturellement Michael et John en profitent pour matter...
— Eh qu'est-ce que vous faites les mecs ?
— Détends-toi ! répond John. Me dis pas que ça te dérange ?
— Bah si un peu, j'ai pas l'habitude de me faire tripoter par des mecs que je connais pas...
— Mais vu ta queue raide tu dois plutôt apprécier ! réplique John.
Je m'aperçois alors que mon gland dépasse, je tente de remonter la serviette mais John me l'arrache des mains et la retire.
— Arrête mec !
— Ehhh du calme David ! On est pas mieux comme çà ! dit John tout en caressantt mon torse humide et collant
— Mmmmmm t'as le torse bien recouvert ! Il y a pas que de la transpiration on dirait !
— Euhhh, non j'ai mis de l'huile solaire.
John se penche et lèche mon nombril, sa langue ramasse la sueur et le sperme encore épais. John se redresse, tirant la langue avec l'amas de sperme au bout.
— Me dis pas que çà c'est de la crème solaire, rétorque Michael.
— Désolé les mecs, j'ai pas pu prendre ma douche...
Michael vient rouler une pelle à John afin de partager le sperme, ils se lèchent a fond, comme deux véritables chiennes. Puis ils se penchent et se mettent à lécher ensemble mon torse dégoulinant de sueur.
— Putain les mecs arrêtez !
Les deux langues ramassent la moindre trace de sperme et de sueur dans les creux de mes abdos.
— T'as du bien juter cette nuit mec ! me lance alors Michael avec un sourire plein de sous-entendus.
— Ben en fait j'arrivais pas à dormir...
— Salope va ! Tu nous écoutais niquer !
— J'avais pas trop le choix !
Ma respiration se fait de plus en plus rapide, mais je commence à me détendre et à y prendre goût.
— Ahhhh t'aimes ça salope ! répond John.
— Non les mecs arrêtez ! Je devrais pas faire ça !
— Ah oui et pourquoi ? Avoue-le, t'es une salope ? s'exclame Michael.
— Non les mecs c'est pas ce que vous croyez ! Allez-vous en !
Les léchages se font de plus en plus intenses. John commence à foutre son nez sur mon pubis et à aspirer la moindre trace de sperme sur mes poils. Michael remonte lécher mes aisselles toutes collantes de transpiration. Même si je balise pas mal, je me laisse cependant de plus en plus allez, poussant quelques gémissements. John se redresse alors le long de mon corps et m'allonge sur lui. Il me caresse le torse et me sert dans ses bras en m'embrassant dans le cou. Michael se redresse et commence à me masser les couilles. Surpris, j'essaye de me redresser mais John me maintient allongé.
— Allez les mecs, cassez-vous !
— On va pas partir comme ça quand même ! Allez, laisse toi un peu aller ! T'en crèves d'envie ! déclare John.
Michael prend le caleçon de John et lui baisse. Je sens alors sa queue contre mon dos, une odeur forte se dégage. John me maintient en me tenant les bras derrière la tête. Il redresse ses genou pour me caler complètement sur son corps. Pris de panique, je commence à me débattre.
— Putain arrêtez ! Lâche-moi mec !
— Ta gueule salope ! me lance alors John d'un ton sec, serrant un peu plus ses bras.
Michael renifle le caleçon de John. C'est un caleçon bien crade ! Et oui ! Pas beaucoup de linge pour trois semaines ça paye ! L'intérieur du caleçon est maculé de sperme et de pisse, il daube un max. Des traînées de merde sont bien apparentes derrière !
— Putain, il daube un max ton calbut John ! déclare Michael.
— Tu m'étonnes, je suis parti sans rien ! c'est le même caleçon qu'il y a trois semaines !

— Ça c'est du pur bonheur !
— Putain mais vous êtes hyper crades !
— Renifle-moi ça au lieu de gueuler ! me répond aussitôt Michael.
— Jamais !
Michael se place alors au-dessus de moi et approche le caleçon. J'essaye de tourner la tête.
— Arrête mec je t'en supplie !!!
— Ta gueule sale batard !
Et sans plus attendre, il me plaque l'intérieur du caleçon sur la gueule en me tenant la tête de façon ferme. J'ai beau essayer de me débattre, Michael force et m'appuie le caleçon sur le nez et la bouche, presque à m'en étouffer !
— HUMMMMMM HUMMMMMMMMMM. Essaye de gueuler David !
— Allez ma salope lèche mon caleçon sinon Michael pourrait devenir violent ! Suis mon conseil !
Je me calme et Michael relâche alors un peu la pression.
— ALLEZ LECHE ! commande Michael.
J'hésite mais par peur de sa réaction, je sors ma langue et commence à lécher le tissu, très timidement.
— PUTAIN TU VAS T'APPLIQUER SALOPE ! TU VEUX QUE JE M'ENERVE !!!!
Je m'applique et lèche le calbut souillé de sperme et de pisse. Je dois même avouer que je commence à y prendre goût. Michael lui fait défiler le tissu, passant sur des zones plus ou moins crades. Je commence à me transformer en une véritable petite salope. J'aspire le tissu comme une pompe ! Michael enlève alors le caleçon.
— Alors tu vois que t'aimes ça !
— C'est moins pire que ce je croyais, lui répondai-je avec un bon regard de salope.
— Tu vas pouvoir nettoyer l'arrière de mon caleçon maintenant ! 
— Ah non pas çà ! Le sperme, la pisse à la limite mais?
Michael ne me laisse pas continuer et me colle direct sur la gueule l?arrière du caleçon, souillé de merde.
— LECHE ! LECHE ! PUTAIN JE T?AI DIT DE LECHER !!!!
Comme je me rebelle, Michael me fout alors un gros coup de poing dans les abdos et me refout son calbut immonde dans la bouche. Je n'ai d'autre choix que de continuer à lécher. Je m'applique de mieux en mieux. Et au bout d'un moment j'y prends même goût ! Quelle salope je suis en fait ! Michael retire le calbut, presque propre. Je me lèche les lèvres en la fixant droit dans les yeux. Il se recule et recommence à me masser les couilles.
— Mmmmmmmmmm, ouiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhh !!!
— T'es vraiment une grosse chienne toi ! me chuchote John à l'oreille.
Le massage des couilles se fait de plus en plus intense.
— Oh ouiiii, putain Michael c'est bon !
— Ah oui ! T?es sûr ! Tiens-le bien John !
Michael me sert alors les couilles à fond.
— Aiiiiiiie ! Putain Arrettttttttttttttte !
Mais Michael ignore mes plaintes et continue  à serrer mes burnes, de plus en plus fort. Je me débat en hurlant. John me maintient fermement.

— Aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie ! Arrettttttttttttte ! Tu vas me les broyer !
Michael me fixe alors dans les yeux d'un air sadique et presse fortement mes couilles par accoup.
— Alors t'aimes toujours ça David ? lance Michael en serrant de toutes ses forces.
Il presse les couilles dans la paume de sa main. Il sert encore plus fort puis relâche d'un seul coup.
— Alors salope ! Heureuse ? demande John.
— Putain vous êtes des malades les mecs !
Michael s'allonge sur moi et me roule une grosse pelle bien baveuse.
— Mais non mec ! Tu vas y prendre goût !
John remet son caleçon et sort de la tente, Michael le suis.
Bon mec ! A plus tard ! Tu sais où nous trouver si t'as envie de bons keums en rut ! lance Michael.
— Euhhhhh, oui enfin je sais pas.
Les deux mecs rentrent dans leur tente, attendus par le reste de la troupe pour le compte rendu ! Pour ma part, épuisé et encore excité par ce qui vient d'arriver, j'essaye de me remettre de mes émotions. Je ne sais plus trop quoi penser...

A suivre...