Le décrasseur décrassé

Après les pics de fromton, voici le témoignage super excitant que m'a envoyé ce week-end Xavier, un bogosse de 26 ans sur Paname (avis aux amateurs, il a l'air super och !) bien accro aux bonnes odeurs de mâle en rut...
Les photos ne sont malheureusement pas de lui mais je pense que si vous lui laissez des commentaires sympas et que vous lui demandez, il pourra nous envoyer bientôt des pics de son zob gluant... Merci encore pour ce super témoignage Xav !!!

Eh bah voila une tite n'histoire pour les grands zenfants po sage, master.

Lorsqu'il est arrivé je l'ai plaqué contre un mur je lui ai baissé son froc sur les molets, je l'ai fait se cambrer comme une chienne, bien humiliant comme pause pour un bon tarba exhibant son intimité a son maitre. Il avait juste oublié de me prévenir d'un détail, il venait se faire loper après le sport et sans passer par la case douche.
A ce moment-là, une effluve plus envoutante q'un parfum CK a atteint mes narines. La peau de cette salope était recouverte d'un léger musc à transformer n'importe quel mâle en animal pistant les féromones de la femelle en chaleur avec un seul instinct en tête : la reproduction pour la pérénité de l'espèce, comme une obsession.

Alors je lui ai choppé le paquet en glissant ma main entre ses cuisses, par derrière c'est toujours plus avilissant - histoire de ne pas lui suggérer qu'il avait réussi à me déstabiliser - ce que de toute façon il n'avait sûrement pas calculé - Je lui ai craché à sa petite gueule de pute écrasée contre le mur. (Le genre de keum qui calcule rien et personne dans la rue et qui termine tous ses dimanches soir au Dépôt ) Et tout en tirant les burnes vers le bas histoire qu'il se contracte davantage, je lui soulève le bras et fout mon pif dessous.

Là ça se confirme, rien d'aigre rien d'amer. Pas l'odeur habituelle de la transpi qu'on renifle dans le tromé aux heures de pointe. Et ce musc persiste sous les aiselles ; poils perlés de petites gouttes sous le débardeur rouge , alors j'y vais à la langue et c'est carrément bon sur les papilles gustatives.

Mais là évidement le mec s'aperçoit que quelquechose cloche dans le plan qu'on avait imaginé. Du coup, changement radical de position : je me retrouve à genoux à sniffer ses couilles lui debout les jambes écartées, toujours le même musc enivrant . J'en peux plus je lui bouffe le zob , et dès que le gland décalote un peu, ça picotte sous la langue, mieux qu'un bonbon acidulé.
Et puis il se retourne et me tend son cul glabre, se cambrant à nouveau, je lui caresse les fesses et commence à lécher sa rondelle bien rose, enfonçant ma langue de plus en plus. Il se retourne à nouveau et me gicle à la gueule un nectar sucré des plus divins.

Bon ça s'est pas vraiment passé comme prévu, mais c'était la première fois que l'idée de lécher la transpi d'un mec me venait à l'idée, et j'en reste encore ému rien que d'y penser.

Toute ressemblance avec une histoire vécue et un personnage réel ne serait pas purement fortuite... hi hi hi