Présentation

  • : TEUBCRADE
  • TEUBCRADE
  • : lope Gay
  • : Bienvenue sur le seul blog entièrement consacré aux amateurs de teubs crades et d'odeurs de mâle en rut ! Photos, vidéos, témoignages, anecdotes... de pures odeurs de queutards à toutes les pages ! Alors ouvrez grand vos narines les mecs !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Participez au blog !

Si vous souhaitez participer à ce blog et ajouter un article ou des photos, il vous suffit de les envoyer par mail à :  teubcrade@yahoo.fr 

Votre article et vos photos seront ensuite mis en ligne et vous pourrez ainsi recevoir les commentaires de tous les autres sniffeurs du site et échanger directement avec eux !

Catégories

Rechercher

Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 11:51

Salut les queutards !

Et oui, me voilà déjà de retour ! Merci à tous ceux qui m'ont laissé des commentaires sous les derniers articles ou qui m'ont envoyé un p'tit mail d'encouragement suite à la reprise du blog. C'est motivant de voir que les articles du blog vous font toujours autant kiffer ! Un grand merci aussi à ceux qui m'ont envoyé le récit de leur dernier plan hard crade, à commencer par l'un des fidèles du blog, Xav (alias Hardhairy). Qui n'a pas juté au moins une fois en lisant un de ses articles, lorsqu'il se fait larver par trois potes hétéros devant un match de rugby ou par un ouvrier du BTP bien macho lors d'une virée à Marseille ?!! Il nous revient aujourd'hui plus chaud que jamais avec un putain de plan qui va rendre jaloux un max de lopsas ! Une mise à dispo pendant toute une nuit avec un groupe de queutards bien daubants... Préparez-vous à larguer votre jus direct en lisant cette histoire... Perso, j'en ai encore le calbut tout gluant ! lol


Salut gars ! Ton blog est à nouveau à jour c'est super !! Je ne résiste pas à l'envie de te raconter ma dernière aventure. C'était la semaine dernière et rien que d'y repenser, je bande comme un âne. J'avais espéré ce genre de plan depuis longtemps, sans jamais franchir le pas. Il fallait surtout que je trouve un mec assez vicelard pour me maintenir à mon rang de salope toute une nuit. Le mec en question c'est Fanck que j'ai déniché lors d'une de mes virée à Paris : 38 ans, très bien foutu, de bons pecs bien poilus toujours en marcel et survet mais surtout il adore baiser une salope en fin de journée sans prendre de douche... Et ça ca me rend dingue à chaque fois ! Il m'avait testé il y a deux mois, il m'a trouvé bon bâtard, bon décrasseur et il a bien vu que mon trou n'en avait jamais assez.

Lors de mon dernier passage à Paris, la semaine dernière, j'avais donc téléphoné à Franck pour lui demander s'il voulait bien me loper. Non seulement il m'a dit oui, mais il m'a demandé de me rendre dispo toute la nuit. Jeudi soir, comme convenu, je me pointe à son appart à 20 heures, il me fait monter. A peine j'avais passé la porte d'entrée qu'il me gueula du salon :
— Tu te mets à poil, tu enfiles le collier de clebs qui est dans l'entrée et tu viens dans le salon ! On t'attend sale pute !
Je m'exécutais et je bandais déjà en pensant à ce que Franck venait de me dire : "On t'attend !". Putain, je me suis dit qu'il avait  fait venir des potes. Je passe la porte du salon et là, ils étaient quatre, deux en survet et deux en short et tongues, ils sentaient déjà la sueur et j'avais la honte de me présenter avec mon collier à poils devant ces gaillards qui rigolaient en me voyant debout devant eux.
— A 4 pattes salope ! On prend l'apéro, tu vas venir nous décrasser nos bonnes teubs qu'on t'a préparé depuis trois jours... Faut tout nettoyer maintenant salope !

Ils discutaient et buvaient leur bière pendant que je m'exécutais en attaquant la bite de Franck. En baissant son survet, je découvrais un slob jaune de pisse qui dégageait une odeur de fauve comme jaime. Il me plaquait la tête contre son paquet déjà bien trempé de mouille. J'insistais avec ma langue sur cette tache de mouille qui s'agrandissait au fur et à mesure que je pressais le gland au travers du slob. Au moment où je tirais sur le slob pour découvrir la bite de Franck, une odeur de pisse et de foutre m'envahissait, et de grands filets de mouille tombèrent de sa bite.
— Allez sale pute, récupère ma mouille avec ta langue de lopsa ! Faut te mettre au boulot !
Après avoir aspiré toute la mouille, je la réutilisais pour commencer mon pompage. Son gland s'est alors complètement décalotté et j'ai pu m'enivrer de tout le from stocké à la base de son gland. Ca puait bien, surtout quand je me suis mis à nettoyer la base de ses couilles bien poilues. Ses potes qui continuaient leur conversation parlaient de moi comme si j'étais une machine à pomper. Franck leur décrivait ses sensations et il vantait mes mérites de bonne suceuse. Elie, en tongues et short me prit alors la tête et me la plaça sur son short. Il n'avait pas de slip, et le short blanc commençait à bien mouiller, surtout qu'il avait une bite énorme, très large et circoncise. Même s'il n'y avait pas de from, elle daubait bien et je n'ai pas manqué de la gober sans retenue, j'ai passé une bonne heure à décrasser ces quatre bonnes  bites bien odorantes, passant de l'une à l'autre, pendant que les quatre potes se prenaient leur apéro.

Je ne savais pas ce qu'ils pensaient faire de moi, c'est alors que Franck leur dit :
— Bon les mecs, on va manger un morceau !
Il me tira par le collier et m'amena dans sa piaule. Il m'ordonna de me coucher sur la descente de son lit et il m'apporta une gamelle avec de l'eau et une avec des chips.
— Tu restes là, je sais pas quand je rentrerai, tu verras bien, mais reste calme !
Il quitta la chambre en fermant la porte à clef. Je ne suis pas trouillard, mais j'ai quand même eu un petit moment de stress. Toutes mes affaires étaient dans l'entrée et je n'avais même pas mon téléphone portable avec moi. La porte s'est ouverte à nouveau, c'était Rudee, un des quatre potes que j'avais bien sucé. Très petit mais bien musclé, hyper poilu, avec une bonne bite bien juteuse.
— Je vais pas revenir ce soir moi, faut que j'essaye ta chatte quand même.
Et je me retrouvais à quatre pattes avec ce mâle en rut derrière moi qui se mit à me défoncer comme un vulgaire trou à bite en me claquant le cul. Au bout de cinq minutes, il s'est retiré et m'a demandé de me placer face à lui. Il s'est alors mis à me cracher tout son foutre sur le torse, de longues giclées bien blanches qui le faisaient gueuler de plaisir. Il me roula une pelle avant de se casser et de fermer la piaule. J'avais rien pour m'essuyer, je n'avais qu'à attendre que le foutre sèche sur mes poils.

L'attente était interminable et je me demandais si j'avais bien fait d'accepter ce plan. Au bout de longues minutes, j'ai décidé de dormir... A une heure du mat, j'ai entendu des gars qui parlaient dans la pièce d'à côté, et je ne tardai pas à voir Franck franchir le pas de la porte.
— Viens par là salope ! Tu vas encore servir de vide-couilles, et crois-moi tu vas t'en souvenir !
Dans le salon, je reconnaissais les deux potes que j'avais sucé à l'apéro et deux autres racailles qui m'ont tout de suite mis la main dessus pour me placer à 4 pattes sur le tapis du salon. Ils m'ont insulté sans que je comprenne tout ce qu'ils me disaient et le plus mignon des deux m'attrapait les cheveux pour m'enfiler direct sa bite dans la gueule. Avant que je ne puisse complètement découvrir sa bite qui puait la transpiration et la frite, je sentais le chibre de son pote qui s'enfonçait dans mon trou direct. Il faisait gicler du gel sur sa tige au fur et à mesure des va-et-viens. J'ai encaissé un défilé de bites pendant une bonne demie-heure.

Franck me demanda alors de m'asseoir sur son manche, pendant qu'Aziz m'enfilait par derrière sans ménagement. Superbe double sodo sans que je puisse gueuler, j'avais la gueule occupée par les deux autres bites par alternance. J'avais le trou en feu et je commençais à en avoir assez, mais je ne pouvais quand même pas déclarer forfait. Au bout d'une heure, mon cul était tellement chauffé que je prenais vraiment du plaisir à sentir ces quatre bites défiler en moi. Franck m'a fait asseoir et les quatre mecs se sont branlés au-dessus de moi, lâchant de bonnes giclées de foutre sur moi, en me barbouillant le corps de tout le jus récolté. Je puais le sperme à plein nez, et je pensais que j'allais prendre une douche mais Franck m'ordonna de retourner au pied de son pieu. Je me suis endormi très vite, couvert de jus, alors que les potes continuaient leur conversation dans le salon.

Vers 3 heures du matin, Franck décida de me tirer par le collier pour m'accueillir dans son pieu. Il était seul et il commençait à me faire des compliments sur mon comportement de bonne salope.
— Tu t'es bien occupé de mes potes. Ils dorment ici dans le salon. Demain au petit déj, il faudra bien s'occuper d'eux, d'accord ?
J'étais crevé mais déjà excité à l'idée de téter les bites au réveil sous la table. Franck me serra dans ses bras et se mit à me rouler des pelles langoureuses.
— Une bonne lopsa, il faut savoir la récompenser quand elle bosse bien. Tu vas bien t'occuper de moi maintenant... Regarde, je bande déjà !
Et je me glissais sous les draps pour accéder à cette bite qui sentait la baise de la veille. Il n'avait pas pris de douche et je commençai à bien nettoyer les restes de foutre qu'il avait gardé sur sa bite. Très vite, je  me suis retrouvé à 4 pattes et il m'encula pendant de longues minutes en me demandant de ne pas gueuler pour pas réveiller ses potes. A peine avait-il craché sur mon cul qu'il se retournait dans le pieu pour dormir. J'ai fini la nuit dans ses bras.

8 heures... Franck entre dans la chambre, je ne l'avais pas entendu se lever.
— Allez salope, on prend le petit dej... Viens nous sucer !
Je me suis retrouvé sous la table de la cuisine pendant que trois des mecs qui m'avaient baisé la veille buvaient leur café à poil et pieds nus. J'ai d'abord léché les panards, dont certains puaient la sueur, et je me suis mis à nettoyer les trois bites qui m'avaient bien défoncées. J'avais faim, mais la priorité c'était de satisfaire les invités. Une fois le petit déj terminé, Franck m'a installé dans le couloir devant la salle de bain à quatre pattes pour offrir mon trou à ses potes avant qu'ils prennent leur douche. Ils m'ont utilisé comme un vide-couilles les uns après les autres avant de se casser vers 9 heures 1/2. Franck devait aller bosser pour 10 heures, il me demanda d'aller me doucher, de m'habiller et je me suis retrouvé sur le palier devant chez lui le ventre vide, mais le cul et la gueule comblés.
Xav (alias Hardhairy)

Publié dans : Témoignages
Ecrire un commentaire - Voir les 31 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés