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Jeudi 29 août 4 29 /08 /Août 18:40

Après ce lopage à distance, un autre petit plan sympa laissé sur le blog par PTIT0M, qui lui aussi a visiblement bien kiffé cet été ! C'est rapide, mais super bandant et efficace !!! Grave kiffant de tomber sur un black sportif, domi, macho et fier de ses odeurs de queutard ! A mon avis, t'as pas fini de t'éclater avec lui mec !! J'espère que tu continueras à nous raconter ton futur dressage ;-) Je vous laisse découvrir le récit super bandant de Ptitom, agrémenté de quelques photos prises sur le net pour l'illustrer... Bonne sturbe à tous !


black 00

Le plan a été prévu en 5 minutes : on se trouve en bas de chez moi, on descend direct dans ma cave et il me lope sans limite. Seule condition : on met la capote.


Il est 11h50, il arrive.

David est canon : black, 1m70, il rentre du sport, en short skets débardeur, lunettes de soleil et clope au bec. Il finit tranquillement de fumer et me suit dans l'ascenceur. Pas un mot. Une fois en bas, il perd pas de temps : une grosse pelle bien baveuse pour me dire bonjour, et un mollard pour me faire comprendre que je suis sa pute.

Interdition de toucher son paquet, de lécher ou quoi que se soit : il enlève une de ses skets, une TN bleu pas très neuve.

− Me suis pas lavé pour toi, alors dépêche de venir me nettoyer les pieds !

Ni une ni deux, je m'exécute et porte son pied à ma bouche.

Il sentait bon le mec chaud, et la sueur d'un mec qui aime qu'on remarque ses odeurs. C'était moite et bien puant, idéal pour m'imbiber le visage de son odeur en peu de temps. Quelques mollards aidant, je me suis vite retrouvé le visage trempé et ma barbe de trois jours complètement crade. J'avais l'impression d'être une chaussette dans laquelle il allait se vider.


Il parlait peu mais chaque mot résonnait comme une excitation supplémentaire.

Après avoir passé en revue ce premier pied aux odeurs de bon sportif en rut, pas le temps pour le second, monsieur avait envie de sortir sa pine.

− Tiens Tom, regarde cette queue pour toi ! Ferme ta gueule et regarde avec le nez !
black 01 Je le regarde sans trop y comprendre quand soudain l'odeur m'arrive aux narines... Un fumet âcre et viril. Il sourit et semble kiffer me faire subir ces odeurs qui dépassent largement le simple délire un peu macho. Il décalotte devant ma figure totalement à sa merci et observe mes réactions face à un gland baveux et apparement en l'état depuis sa dernière branle.

− Qu'est-ce que t'attends ? Tu nettoies ou tu veux que je te montre comment ça marche ?

Suite à mon manque de réaction, David décalotte complètement et s'essuie littéralement la bite sur mon visage. J'ai l'impression de n'être qu'un morceau de sopalin, mais l'excitation monte alors que je sens les odeurs envahir mon nez. Il se place devant ma bouche et force l'entrée. Sans me préparer au calibre surdimensionné de sa grosse bite de blackos, il lime ma bouche. Mes petits soupirs et mes cris ne l'arrêtent pas et ont au contraire tendance à l'encourager à me baiser la bouche davantage. Je me retrouve écrasé contre le mur avec sa bite qui entre et sort violemment, laissant échapper des traînées de bave visqueuse de ma gorge profondemment pénétrée.
black 02 − Sale pute, tu croyais que je venais me faire pomper comme ça ? Je suis venu pour te donner un premier extrait de ce que ta vie va devenir... Tu vas être une pute pour moi, tu comprends ?

black 04Je ne pouvais rien dire, la gorge totalement occupée par l'énorme bite de ce mec que je connaissais à peine.

− Tu écoutes tout ce que je dis, tu obéis et tout ira bien !

Il me fout par terre et me baise la bouche. Je l'entends soupirer.

− Je vais t'asperger la gueule et je te préviens, t'as intérêt de garder mon jus toute la journée sur la face, sinon tu vas morfler.
Il se relève et m'ouvre la bouche, le regard plein de vice, il pousse un bon cri de mâle en giclant sur mon visage son jus bien épais et gluant. Après l'avoir bien étalé sur tout mon visage, il se relève et me demande d'en faire autant. Retour à l'ascenseur avec ce jus sur le visage.

− C'est bien pute, continue comme ça et on sera très bons amis... RDV très bientôt... J'ai besoin de ma toilette quand je sors du sport.

La porte de l'ascenseur s'ouvre, il sort et me laisse avec son foutre sur la gueule. Retour chez moi, pour une giclée rapide sur la gueule, histoire que mon yop goûte le sien...

Par Ptitom - Publié dans : Témoignages
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Jeudi 29 août 4 29 /08 /Août 17:30

Salut les queutards ! J'espère que vous avez passé d'excellentes vacances et profité un max du soleil et de la chaleur de ces deux derniers mois pour vous en mettre plein les narines ! ;-) D'ailleurs n'hésitez pas à m'envoyer les récits, photos et/ou vidéos de vos plans de l'été pour que je les publie sur le blog ! J'ai encore quelques articles en attente mais j'avoue que je manque cruellement de nouvelles contributions en cette rentrée. A bon entendeur :-)

 

Pour commencer, je vous propose un p'tit plan original et sympa réalisé par COÏNCIDENCE, un des fidèles du blog, qui après avoir lopé un agent immobilier et un coiffeur, nous fait aujourd'hui partager un défi lancé à un de ses potes au taf... Hummm apparemment il en veut ce p'tit batard, vivement que tu nous racontes un bon lopage odorant avec lui mec ! En tout cas, merci pour ce témoignage et ces quelques photos bien bandantes... Et si vous aussi vous avez envie de lancer des défis de ce genre à vos potes, n'hésitez pas et n'oubliez pas de venir tout nous raconter après sur ce blog...

 

Il y a quelques temps, je discutais avec un pote sur Skype qui me disait qu’il était en manque de from et de sniffage de bons boxers daubants car son mec ne tripe pas du tout sur ce trip (il ne sait pas ce qu’il loupe ! lol).  Sachant mon pote assez joueur (c’est lui qui m’a fait découvrir cet excellent blog qu'est Teubcrade) et qu’il peut être assez salope, mon esprit pervers ne fit qu’un tour et je lui ai proposé un défi. Devant aller régulièrement dans les locaux où il taf, je lui propose de lui crader un boxer que je porterais plusieurs jours et que je lui laisserais dans les chiottes de son taf pour qu’il puisse s’amuser avec. Bien sûr, en bonne lope qu’il est, il accepte sans hésiter.


Comme je devais me rendre à son taf une dizaine de jours plus tard, j'ai décidé dès le lendemain de garder mon boxer jusqu’au jour J. Donc 10 jours à le porter, à transpirer dedans, me branler et juter dedans. Je vous raconte même l’odeur quand je me réveillais avec le matin, j’avais le barreau direct et ne pensais qu'à baiser toute la journée.

Concidence (12)

Arrive le jour J... Je lui envoie un sms pour lui dire à quelle heure il trouvera sa surprise (bien sûr je jute une dernière fois dedans juste avant de partir). Je le mets dans un petit sachet en lui laissant également un petit mot car je voulais voir s’il était une vraie salope prête au défi...

Concidence (11)

 

« Salope, tu vas aller dans les chiottes pour sniffer ce boxer foutré et commencer à te branler. Puis tu vas aller à ton bureau et te branler bien à fond dans le boxer en pensant à ma teub dans tes trous de chienne. Etale bien ta mouille dessus et caresse-toi le torse et la gueule avec. Jute sur le boxer. Prends des photos de ta queue de lope dans mon boxer, montre-moi la chienne que tu es qui peut pas s’empêcher de se branler au taf avec le boxer d’un autre. Je récupérai le boxer dans une heure au même endroit dans les chiottes. »


Je suis donc allé aux chiottes de son taf, j’ai déposé le paquet comme prévu. Une heure après je l’ai récupéré bien humide...

 

 

Et le soir, j’avais les photos par mail et mon pote m’a demandé si je pouvais en faire un article pour Teubcrade. C’est chose faite. Bon matage à tous et bonne branle !

 

 

Concidence (13) Concidence (14)
Concidence (15) Concidence (16)
Concidence (17) Concidence (18)
Concidence (19)

 

Par Coïncidence - Publié dans : Témoignages
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Samedi 3 août 6 03 /08 /Août 01:00

Il semblerait que la dernière histoire de larvage dans les vestiaires laissée sur le blog par mon pote CRADYON ne vous ait pas laissés indifférents, loin de là ! Je ne résiste donc pas à la tentation de vous faire partager une autre témoignage traduit de l'anglais par lui pour votre plus grand plaisir... C'est de loin la meilleure description d'un décrassage de bite fromageuse que j'aie jamais lu ! Preuve qu'outre-Manche aussi les p'tits hétéros machos kiffent se faire récurer leur zob bien daubant par leur pote pédé ! Et vous verrez que même si l'Angleterre n'est pas spécialement connu comme un grand pays producteur de fromages, certains mecs n'hésitent pas à nous faire concurrence ;-)
Allez trêve de bavardage, je sens que vous avez déjà la queue raide alors sortez vos teubs les mecs, c'est parti pour un pur témoignage qui vous fera cracher à coup sûr !

 

A 21 ans, j'ai vécu avec 5 autres gars dans une maison à Waterloo, où nous allions tous à l’Université. Je les connaissais tous depuis quelques années, avant de décider de déménager du campus et de partager une maison. J'avais tout le sous-sol pour moi en chambre à coucher, il y avait une chambre au premier étage, trois autres au second et un grenier pour finir. Ian était dans le grenier.

C'était l'été. Le grenier était chaud et humide, presque trop chaud. Je me demandais comment Ian pouvait le supporter car c'était sa chambre et il dormait là, la plupart des nuits. J'avais déménagé un lit grande taille dans le sous-sol la semaine précédente et poussé l'ancien lit jumeau contre le mur opposé. La journée avait été chaude et nous avions tous senti la chaleur : une bande de gars dans leur job d'été, en sueur, musqués et détendus. Rien que des mecs, la plupart d'entre nous portions des shorts.
canicule 01La peau de ces hommes était brillante et parfois ruisselante de sueur. Nous n’avions aucun climatiseur. Le salon sentit bientôt comme un vestiaire. Certains d'entre eux, un par un, se levèrent pour aller prendre un bain. La seule baignoire était au deuxième étage et il n'y avait pas de douche. Ian n’était pas parmi les gars qui se nettoyaient. Neil s’était effectivement éloigné de lui sur le canapé après avoir commenté l’odeur corporelle de Ian.

canicule 03 Nous étions tous à fumer des 420, boire des bières et je pense que Ian avait même un peu de drogue. À environ une heure, nous nous sommes tous couchés. Je suis allé à la cave fraîche et Ian est allé au grenier. Environ une demi-heure plus tard, la maison était silencieuse. J'étais à l'aise dans mon nouveau lit, dans la fraîcheur du sous-sol et je somnolais. Puis j'ai entendu des pas dans l'escalier, sur le sol de l'étage principal, puis descendre les escaliers jusqu'au sous-sol. J'ai allumé ma lumière et Ian se tenait devant ma porte, seulement vêtu de son caleçon blanc totalement moite. Sa peau était de nouveau brillante de sueur et son calbut en coton collait à ses cuisses épaisses et musclées. Ses couilles sortaient sur un côté et son impressionnante bite non circoncise sur l'autre. Sa braguette était ouverte et je pouvais voir la touffe luxuriante juste au-dessus de sa queue.

-- Mec, je supporte plus chaleur là-haut. Je crève. Je peux squatter ici ?
-- Bien sûr. Je sais pas comment tu endures cet été.
Je pensais que Ian aurait jeté les vêtements qui étaient sur mon vieux lit jumeau au sol et se serait couché là, mais il traversa la pièce et s’écroula sur l'autre côté de mon nouveau lit. Il leva les bras au-dessus de sa tête sur l'oreiller et je pus immédiatement le sentir. C’était une puanteur intense. Il passait son été à repeindre des maisons et il portait toujours la même combinaison, alors, qu’il se baigne tous les jours ou pas, tous les jours après le travail, il puait. C'est pas comme si je vérifiais si les gars se lavaient ou pas, mais je profitais des odeurs virils quand ils ne le faisaient pas. Je me doutais bien que Ian est l'un de ces gars qui ne prennent pas vraiment un bain tous les jours. Peut-être juste laver son visage et ses aisselles avec un gant de toilette le matin. Pas de méprise, il aurait bien pu se laver pour un rendez-vous en fin de semaine, mais c'était jeudi soir.

-- Merci mec. J’arriverai pas à survivre là-haut ce soir
-- Pas de problème, ai-je dit, me retournant pour le regarder, mon nez si près de ce paradis poilu puant.

canicule 05 Ian était un mec qui travaillait dur et s’endormit assez rapidement. Il était allongé sur le dos avec les bras au-dessus de la tête et les jambes écartés prenant plus que sa part du lit. Nous étions tous les deux sur les draps. Même si le sous-sol était plus frais que partout ailleurs dans la maison, il faisait encore trop chaud pour être couverts. Lorsque sa respiration se ralentit et devint plus régulière, je me suis rapproché. Ma bite était raide comme un roc et passait au-dessus de la ceinture de mon caleçon. J'ai approché mon visage des aisselles de Ian et je pris une profonde bouffée.
canicule 04 Son odeur corporelle était forte et épaisse dans mes narines. J'ai collé ma langue pour goûter sa sueur salée et j'ai doucement sucé les poils que je trouvais ici. J’ai dû chatouiller Ian parce qu'il se tortillait un peu et je me suis arrêté un instant. J'ai éloigné ma tête de son aisselle mais mon visage était encore humide de sa sueur et je pouvais le sentir encore. Il se remit en place. J'ai regardé son short. Sa bite se trouvait de mon côté. Il aurait pu ne rien porter du tout parce que son boxer était complètement trempé et transparent. Je pouvais voir le bout de son gland dont je savais qu’il était recouvert d’un prépuce épais. Je m’appuyai sur un coude et avec ma main libre, je traçai d’un doigt la longueur de sa virilité de la racine aux lèvres boudeuses de son prépuce. Je portai ce doigt à mon nez pour sniffer, pas beaucoup d’odeur.

 

canicule 04b Je vérifiai qu'il était bien endormi avant de glisser ma main dans la braguette ouverte de son boxer et lentement, avec précaution, extraire sa bite humide. Je la laissais étendue dans la chaleur et la regardais attentivement. J'étais heureux de ne pas avoir enlevé ma lampe de chevet après que Ian soit venu dans mon lit. Elle ne donnait pas beaucoup de lumière mais ça suffisait pour voir que son pénis était sombre et son prépuce long. J'ai caressé légèrement les bords de son prépuce. J'ai léché mon doigt et recommencé. La bite de Ian a commencé à réagir. Ian a recommencé à se tortiller le haut du corps et j'ai retiré ma main et jeté ma tête en arrière où j'étais prisonnier de son odeur rance d’aisselle.

Au bout d’un moment, je me suis déplacé vers le bas du lit pour que mon visage soit à quelques centimètres de sa bite. Maintenant je pouvais la sentir. C’était différent de l’odeur de mes jocks en sueur. Ma sueur de bite et de couilles était musquée. La sueur de bite de Ian était carrément piquante, presque une odeur aigre. Sentir le prépuce non lavé en sueur de Ian me faisait mouiller du gland. J'ai tendu une main et saisi la peau avec mon pouce et l'index pour la tirer vers le bas de sa tige.


J'avais juste commencé à faire ça lorsque Ian leva soudain la tête en haletant et souleva ses bras de l'oreiller.
-- Putain ! Putain mec, qu’est-ce que tu fais ? Dégage de ma bite putain !
-- Désolé, ai-je murmuré avant de me redresser et de me rallonger sur l’oreiller, regardant le plafond, incapable de regarder Ian.
-- Qu’est-ce que tu faisais, putain ? dit-il à voix basse tout en me regardant.
Il s’était détendu mais n’avait pas remis sa bite dans son boxer. Ses mains ne protégeaient pas sa queue. Elle était toujours exposée.

-- Pourquoi tu touchais ma bite, mec ? Eh, regarde-moi quand je te parle !
J'ai tourné ma tête pour regarder Ian. Son visage n'était pas en colère. Il était perplexe. Comme s’il ne pouvait pas comprendre ce qui était arrivé. Je pouvais aussi voir du coin de l’œil que son pénis gonflait.
-- Je... euh... tout simplement j’ai jamais touché un mec avec un prépuce avant, ai-je répondu faiblement.

-- Tu joues avec les bites des mecs ? C’est ce que tu me dis ?
-- Eh bien, ok, oui, c’est ce que je fais.
-- T’aimes les tenir ? Ou les caresser en cercle ? Ou quoi ?
-- Tenir, presser. Parfois caresser, mais juste en duo, pas comme un tas de gars.
-- T’as aussi sucé un mec à fond, hein ? Dis-moi la vérité.

 Puis, quand il s'est tourné pour me regarder et qu'il a senti l'odeur émanant de ses aisselles, je crois qu'il a lancé un truc du genre : "Putain, je pue vraiment là !".

-- Ouais, ai-je répondu timidement.
-- Ouais quoi ? Ouais tu suces la queue ou ouais je pue ?

 Je pouvais voir que la bite de Ian était entièrement dressée maintenant. Le bout de sa bite était à environ deux centimètres de ses abdos durs, comme si elle était en lévitation dans l'air. Je me tournai et regardai droit sur sa bite.
-- Les deux. Oui tu sens comme un homme pas lavé et oui j'ai déjà sucé de la bite.

 
canicule 18 Ian prit une profonde inspiration. Ses pectoraux se sont élargis et ses abdos se sont levés et sont retombés et il laissa échapper un long soupir.
-- Alors t’es un pédé ! Je suis au lit avec un pédé et tu as touché ma bite pendant que je dormais !
-- Ouais, je pense que oui...
-- Regarde ce que t’as fait, mec. Elle est toute raide. Et mes couilles sont pleines aussi. J’ai pas vu ma meuf depuis deux semaines. Regarde. C’est ce que tu as fait. T’aimes ça ?
Il a pressé ses fesses et les a fait tressauter. Le prépuce recouvrait encore complètement son gland mais un peu de jus coulait à l'extrémité de sa peau.

-- Putain, mec. Ouais j'aime çà !.
-- Touche-la encore !
Et j'ai tendu ma main aplatie pour la poser sur le dessus de son engin.
-- Non, sens-la ! dit-il avec plus d’empressement.

J'ai alors fermé mon poing autour de sa bite raidie. Elle était dure comme de la pierre et elle tressaillait dans ma main. Il prit une profonde inspiration et soupira...
-- Je pue, mec. J'ai travaillé toute la journée avec cette chaleur atroce et j'ai pas pris un bain depuis des jours. J'aime ma propre odeur quand j'ai travaillé mais là, c'est assez extrême. Tu disais que t’avais jamais touché le prépuce d'un mec avant. Tu sais ce qui se passe quand on ne le lave pas ?
-- Je sais qu’il y a un truc qui apparait, mais je sais pas...

-- Descends ton visage vers ma bite ! dit-il avec autorité, ne me laissant pas d'autre choix que d'obéir.
-- Maintenant tire mon prépuce vers le bas, doucement, lentement...

canicule 11Putain, je pensais qu'il reprenait le plan là où je l’avais laissé. Je me suis vraiment rapproché de sa bite et puis j’ai commencé à tirer la peau en arrière. La première chose à se produire lorsque la peau a été bien dégagée fut qu'une grande quantité de liquide séminal clair a coulé sur ses abdos et est restée suspendue à sa bite comme un épais sirop. J'ai continué à tirer vers le bas et j’ai vu le gland pourpre tout brillant avec son jus et puis il est allé du violet à blanc à environ un tiers de la hauteur du gland.

-- T’as vu ça ? C'est le fromton. Du fromage de bite. C'est ce qui arrive quand je la lave pas tout le temps. J’en ai tous les jours mais j’ai la flemme. C’est la production de 5 jours. Elle pue, hein ?
fromextra1.jpg J'ai pris une grosse bouffée. Ça sentait l’odeur de bite la plus intense que j'ai jamais sentie. J'ai pris une autre grosse sniffée de la bite de Ian et j’ai continué à retrousser sa peau. Au sommet du gland, la peau se dégagea subitement et là, juste face à moi, il y avait une énorme accumulation de gros morceaux de from accompagné d’une substance crémeuse, et tout ça sentait extrêmement fort la bite crade.

 J'ai approché la bite de Ian de mon nez et j’ai frotté de son from sur le bout de mon nez.
-- Putain, mec. C’est pas dégoûtant ? Je veux dire, t’es pas écœuré ?
-- Non Ian, ai-je dit avant de me retourner pour regarder son visage
-- Je dois dire que j'aime l'odeur de ta bite crade. Je peux la sentir et je peux sentir l’odeur de tes couilles dans ce vieux jockstrap et... eh bien, j'aime beaucoup.
 
-- T’aimes mes couilles ? Sniffe-les alors !

Sur ce, il a levé ses jambes et a enlevé son boxer une fois pour toutes avant de se rallonger, complètement nu. J'ai aussi chopé une bonne odeur de pieds quand ils ont volé près de mon nez. Incroyable. Ma bite me faisait mal tellement je bandais. J'ai jeté un dernier regard à son beau visage puis j’ai plongé mon visage dans son entrejambe poilue, odorante. Le paradis !!! Le paradis de la puanteur masculine ! Mieux que n'importe quel jockstrap en sueur que j'aie jamais reniflé secrètement dans un vestiaire. Mieux que n'importe quel sous-vêtement crade de mec avec lequel j’ai pu me branler quand personne n'était à la maison. J'ai léché et sucé ses couilles poilues alors qu'il gémissait un peu et murmurait des choses comme "putain de malade" et "sale pédé".

canicule 06 Sa respiration devenait irrégulière et plus rapide. J'ai léché sa peau jusqu’à ses pieds et reniflé l'odeur complètement dingue de ses pompes et l'odeur aigre de ses chaussettes et léché le fromage entre ses orteils rances et sucé sur les orteils (ce qui le faisait sursauter). Il s'assit alors. Je me suis donc assis moi aussi. Sa bite se tenait droit vers le haut et le prépuce recouvrait le gland à nouveau.
-- Si t’aimes mes pieds, mon pote, tu vas adorer le goût de ma bite au from. Suce-moi à fond !

Il a saisi ma tête d'une main et m'a forcé à descendre vers sa bite. Je l'ai arrêté avant qu'il force ma bouche.
-- Laisse-moi faire à ma façon, mec. Je veux te tailler la meilleure pipe que t’aie jamais eue !

 
Ian se détendit, s’allongea et je suis allé m’occuper de lui. J'ai tiré le prépuce vers le bas lentement à nouveau, complètement cette fois et mes narines se remplirent de cette odeur de saleté caractéristique. J'ai léché l'extrémité de la queue de Ian où le liquide séminal suintait et savouré le goût sucré et l'odeur aigre de sa bite. J'ai tendu ma langue et j’ai commencé à récolter l'amas de fromton sous la crête du gland et je l'ai amené dans ma bouche et mâché. Je pouvais sentir les secousses de la bite de Ian dans ma main, chaque fois que je léchais son pieu fromageux.

canicule 17 Je laissais ma langue envelopper doucement et tourbillonner sur son gland couvert de blanc pendant qu'il se raidissait et gémissait et que la croûte blanche devenait crémeuse avec ma salive. J'ai frotté sa grosse queue sur ma lèvre supérieure pour pouvoir sentir tout le fromton que j'avais laissé là. Puis j'ai pincé mes lèvres et les ai tartinées de son liquide séminal jusqu'à ce qu'elles soient couvertes de liquide visqueux et glissant, puis j’ai glissé sa bite entre mes lèvres glissantes, plus profond et plus profond. Le goût épais de son from de bite emplissait ma bouche. Il se tortillait d'un côté à l'autre et poussait ma tête de plus en plus bas, jusqu'à ce que je puisse goûter son from dans ma gorge, épais et corsé, avec mon nez enfoncé dans sa toison pubienne piquante de sueur. Il a commencé à grogner et à m'appeler "suceur de bite", " sale porc" et "Pédépédépédépédépédé".


Quand il a joui dans ma bouche, c'était comme si c’était solide. Coup après coup, du jus avec la consistance de la gomme. Mais pas le goût de la gomme. C'était incroyable de déguster ça, peut-être parce qu'il n'avait pas éjaculé depuis si longtemps, peut-être parce qu'il était mélangé à de la saleté qui s'accrochait encore à sa bite, c'était doux et épicé, salé et âcre. Et il y en avait tant. J'ai continué à sucer et ça continuait à sortir et à gicler à l'arrière de ma bouche et à descendre vers ma langue et mes lèvres et j'ai avalé et avalé et avalé.

canicule 14J'avais fini d’avaler, mais je gardais sa bite dans ma bouche tandis qu'elle ramollissait, léchant doucement, suçant doucement, sentant encore plus les couilles de Ian. Je ne voulais pas que ça s'arrête. Il a mis ses mains sur ma tête et m’a dit d'un ton sec :
-- Enlève-toi de ma bite !
Je me suis étendu à côté de lui à nouveau avec son odeur d’aisselle dans mon nez à nouveau et je l’ai regardé. Il m’a regardé droit dans les yeux et m'a alors lancé :
-- C’était un putain de plan, sale baiseur ! Putain, va te laver le visage mec ! Je peux sentir la puanteur de ma bite crade sur ton visage.
Mais cette fois, je n’obéis pas. Je me suis retourné et j’ai gardé son odeur là où je pourrais l’apprécier toute la nuit. Plusieurs fois, je me suis réveillé dans la nuit pour trouver mon visage enfoui dans son aisselle impressionnante encore une fois, ou sentir sa bite dure, pressée contre mon dos ou frottant contre mes fesses. Ian était un baiseur tellement excité.

D’autres rendez-vous après cela ? A chaque vague de chaleur au cours de cet été...

Par Cradyon - Publié dans : Témoignages
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Mardi 30 juillet 2 30 /07 /Juil 16:00

from teub 01 Certes, il semble clair que les trips odeurs et sniffage/décrassage de zob fassent presque exclusivement kiffer les mecs (gays, bi ou hétéros) mais une vidéo que m'a signalée un visiteur du blog m'a laissé un peu perplexe... Elle n'est malheureusement pas de très bonne qualité mais on y voit une jeune meuf asiat, les yeux bandés, qui enlève le calbut d'un mec avant d'approcher le nez de la queue. Visiblement le mec doit bien dauber du zob car elle a aussitôt un net mouvement de recul. Mais passée cette première surprise, l'envie de déguster cette teub va se faire plus forte et elle va rapprocher ses lèvres de la teub, titiller le gland avec la langue avant de carrément la décalotter, laissant apparaître un gland couvert de from bien épais !

 

Loin de s'effaroucher, elle va alors goûter le from du bout de la langue avant de carrément s'en délecter et de se lancer dans un décrassage en règle de la queue du mec.

Avec semble-t-il beaucoup de talent puisque le mec lui remplira assez vite la bouche de foutre, lui laissant sur les papilles le goût divin du mélange jus/fromton. Avis aux amateurs ! ;-)

 


Bon ok la vidéo ne fait pas super naturelle, mais elle a le mérite de soulever une question : et si certaines nanas elles aussi étaient accro à l'odeur de zob et au from ?!


Je profite donc de cet article pour lancer un appel à témoignage... Si vous êtes hétéro ou bi et que vous avez déjà eu l'occasion de faire ce genre de plan avec une meuf (sniffage et/ou décrassage), que votre nana est accro à vos odeurs (aisselles, teub, cul, ieps...) ou bien au contraire si vos tentatives de l'initier à ces trips se sont révélés un échec, n'hésitez pas à laisser un commentaire sous l'article et à nous faire part de votre expérience ! Je doute que beaucoup de meufs fréquentent ce site, mais si toutefois c'est le cas et qu'elles se reconnaissent dans ce genre de trips, leur témoignage est également le bienvenu !

 

Je compte vraiment sur vous pour participer nombreux à ce débat et faire de ce blog un véritable forum de discussions et d'échanges...

Par Teubcrade - Publié dans : Débats
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Mardi 30 juillet 2 30 /07 /Juil 15:00

Hairylegs94 01 Petite dédicace à mon pote HAIRYLEGS94, fidèle de la première heure du blog et qui, malgré le temps qui passe, continue régulièrement à laisser des commentaires tous aussi bandants les uns que les autres sous les différents articles... Sans compter ses multiples contributions ! Vous avez d'ailleurs déjà pu partager plusieurs de ses plans crades sur le blog :

Nul doute que t'as déjà fait couler des litres de jus sur ce site mec ! Et c'est d'ailleurs pas fini avec la vidéo hyper bandante que je vous propose aujourd'hui où l'on voit notre queutard poilu préféré astiquer sa grosse queue fromageuse et larguer un max de foutre bien épais sur un jockstrap déjà bien cartonné ! Le baillon idéal pour étouffer les cris d'une bonne lopsa, tout en lui lui gazant le pif avec tes odeurs de mâle ! ;-)

 

 

Merci encore pour ton soutien mon pote et continue à nous faire kiffer un max avec ta grosse teub bien fumante et tes plans hyper och !

Par Hairylegs94 - Publié dans : Vidéos
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Mardi 30 juillet 2 30 /07 /Juil 13:30

Salut les queutards !

Je profite d'un petit moment de répit dans le taf pour faire quelques mises à jour sur le blog. Et ouais, je sais que certains d'entre vous se désespèrent de venir chaque jour sur le site et de ne pas trouver de nouveaux articles, mais comme j'ai déjà eu l'occasion de l'expliquer, la gestion d'un blog demande énormément de temps, et ce n'est pas toujours évident à concilier avec la vie personnelle et professionnelle... Mais bon, je ne vous oublie pas pour autant et dès que j'ai un peu de temps libre comme aujourd'hui, je reviens vous faire triquer un max !

 

Un grand merci à ceux qui continuent de laisser des commentaires régulièrement, c'est kiffant de voir que vous kiffez toujours autant ce blog ! Merci aussi à ceux qui m'ont envoyé de quoi faire de nouveaux articles hyper bandants !!! A commencer par PHIL, un queutard bien chaud de 44 ans, en couple, et dont la queue bien fromageuse va faire baver pas mal d'entre vous !

 

C'est clair que quand on matte ses photos, on n'a qu'une envie c'est de se foutre à genoux devant ce chibre bien crémeux, de se le coller sur le pif et de s'en foutre plein les narines !!! C'est clair que ton mec doit grave kiffer te la décrasser gars ! Merci encore pour ta contribution et si vous êtes un peu exhib vous aussi, n'hésitez pas à m'envoyer vos pics pour que je les publie sur le blog. Mais trêve de blabla, je laisse la parole à PHIL pour se présenter... Sortez vos teubs et respirez à fond ! Le kiff commence...



Salut Teubcrade ! J’adore ton blog et j’y vais souvent, c’est pour ça que je veux y participer et t’offrir des photos de ma queue bien fromageuse. Pour me décrire vite, j'ai 44 ans, je suis brun, 1m82 pour 80kg...  très très poilu des jambes et du cul (en général ça plait pas mal aux mecs !), mais très peu poilu du torse, avec une queue de 19 cm.

Phil 01 Phil 02

C’est mon mec qui est branché crade qui m’a fait découvrir ces pratiques et qui m’a demandé de ne plus me laver la queue pour pouvoir bien me la nettoyer (cette salope va se régaler à sniffer ça et y mettre la langue...).

Phil 03 Phil 04

C’est un beau mec châtain aux yeux bleus de 1m89 pour 95kg, poilu moyen et qui, lui aussi, a du fromton pour que je lui pompe bien le gland…

Phil 05 Phil 06

Et oui, en deux mots nous sommes un couple de vicelards et de crades (mais dans la limite dus raisonnable quand même). A+
Phil

Par Phil - Publié dans : Photos
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